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Sujets que j'ai initié

  1. Ha Ha Ha Ha !!!!!!!!!!!

    Posté 18 juil. 2003

    A l'école, l'instituteur demande à Toto: Sais-tu ce que mangent les ours? Toto répond: Oui, Msieu. Les ours mangent des oignons! Surpris, l'instituteur lui demande pourquoi il croit que les ours mangent des oignons. Toto répond: C'est parce que ma mère disait à mon père, l'autre soir, dans leur chambre: Profite de me bouffer l'oignon parce que les ourses arrivent! [en argot parisien, les "ourses" sont les règles] :D :D :D :lol: :lol: :lol:


    C'est une jeune fille de seize ans qui va sortir en boite avec un garçon pour la première fois. Ne voulant pas paraître trop bête, elle demande des conseils à sa grand-mère. La mamie lui dit:
    "Assieds-toi ici: je vais te donner quelques trucs sur les garçons. Ce soir, en discothèque, vous allez danser, puis vous allez boire, puis vous allez redanser... puis il va chercher à t'embrasser et certainement que tu en auras très envie. Alors si c'est le cas, tu pourras le laisser faire.
    Ensuite, il va aussi essayer de te caresser les seins, et certainement que de ça aussi, tu auras très envie... Alors, si c'est le cas, tu pourras le laisser faire.
    Mais ensuite, il essaiera de placer sa main entre tes jambes, et peut-être que de ça aussi, tu auras très envie... Là tu feras comme tu veux
    Par contre, il y a quelque chose de vraiment très important: si après ça il cherche à monter sur toi et à faire son affaire avec toi, ne le laisse surtout pas faire, car à ce moment là, il mettrait la honte sur toi et toute notre famille."
    Munie de ces précieux conseils, l'adolescente part en boite avec le gars.
    Dès le lendemain, elle retourne chez la grand-mère pour se confier:
    "Tout s'est passé comme tu me l'avais dit mamie", dit l'adolescente, "sauf que, quand on en est arrivé au moment où il cherche à monter sur moi pour me faire mon affaire, là, c'est moi qui suis montée sur lui: comme ça je lui ai mis la honte sur toute sa famille!" :lol: :lol: :lol: :D :D :D


    L'institutrice donne une leçon de français. Le sujet porte sur le nombre de syllabes dans les mots. Pour faire participer la classe, elle demande à chacun de citer des exemples de mots avec une puis deux syllabes. "Prescilla, est-ce que tu connais des mots contenant deux syllabes?"
    "Lundi" répond la petite-fille.
    "Très bien. Il y a effectivement deux syllabes, LUN... DI. Est-ce que quelqu'un connaît un mot contenant trois syllabes?"
    "Moi madame, Mercredi!" répond Tony.
    "Mais oui Tony, c'est très bien, Mercredi contient effectivement trois syllabes MER... CRE... DI."
    À ce moment là, Toto surexcité fait tout pour se faire interroger:
    "Madame, madame, je connais un mot de quatre syllabes!"
    "Bon, allez, vas-y Toto" laisse tomber l'institutrice avec un peu d'appréhension.
    Et Toto lance fièrement:
    "MAS... TUR... BA... TION!"
    Choquée, l'institutrice essaie de garder tout son sang-froid et répond:
    "Waow Toto. Quatre syllabes! On en a vraiment plein la bouche, n'est-ce pas?"
    "Ah non Madame, vous pensez à une 'pipe', mais ça, c'est seulement deux
    syllabes :P :P :P :lol: :lol:
  2. Poeme

    Posté 18 juin 2003

    Un horizon fait à souhait pour le plaisir des yeux. FÉNELON.

    I

    Oui, c'est bien le vallon ! le vallon calme et sombre !
    Ici l'été plus frais s'épanouit à l'ombre.
    Ici durent longtemps les fleurs qui durent peu.
    Ici l'âme contemple, écoute, adore, aspire,
    Et prend pitié du monde, étroit et fol empire
    Où l'homme tous les jours fait moins de place à Dieu !

    Une rivière au fond ; des bois sur les deux pentes.
    Là, des ormeaux, brodés de cent vignes grimpantes ;
    Des prés, où le faucheur brunit son bras nerveux ;
    Là, des saules pensifs qui pleurent sur la rive,
    Et, comme une baigneuse indolente et naïve,
    Laissent tremper dans l'eau le bout de leurs cheveux.

    Là-bas, un gué bruyant dans des eaux poissonneuses
    Qui montrent aux passants les jambes des faneuses ;
    Des carrés de blé d'or ; des étangs au flot clair ;
    Dans l'ombre, un mur de craie et des toits noirs de suie ;
    Les ocres des ravins, déchirés par la pluie ;
    Et l'aqueduc au loin qui semble un pont-de-l'air.

    Et, pour couronnement à ces collines vertes,
    Les profondeurs du ciel toutes grandes ouvertes,
    Le ciel, bleu pavillon par Dieu même construit,
    Qui, le jour, emplissant de plis d'azur l'espace,
    Semble un dais suspendu sur le soleil qui passe,
    Et dont on ne peut voir les clous d'or que la nuit !

    Oui, c'est un de ces lieux où notre cœur sent vivre
    Quelque chose des cieux qui flotte et qui l'enivre ;
    Un de ces lieux qu'enfant j'aimais et je rêvais,
    Dont la beauté sereine, inépuisable, intime,
    Verse à l'âme un oubli sérieux et sublime
    De tout ce que la terre et l'homme ont de mauvais !

    II

    Si dès l'aube on suit les lisières
    Du bois, abri des jeunes faons,
    Par l'âpre chemin dont les pierres
    Offensent les mains des enfants,
    À l'heure où le soleil s'élève,
    Où l'arbre sent monter la sève,
    La vallée est comme un beau rêve.
    La brume écarte son rideau.
    Partout la nature s'éveille ;
    La fleur s'ouvre, rose et vermeille ;
    La brise y suspend une abeille,
    La rosée une goutte d'eau !

    Et dans ce charmant paysage
    Où l'esprit flotte, où l'oeil s'enfuit,
    Le buisson, l'oiseau de passage,
    L'herbe qui tremble et qui reluit,
    Le vieil arbre que l'âge ploie,
    Le donjon qu'un moulin coudoie,
    Le ruisseau de moire et de soie,
    Le champ où dorment les aïeux,
    Ce qu'on voit pleurer ou sourire,
    Ce qui chante et ce qui soupire,
    Ce qui parle et ce qui respire,
    Tout fait un bruit harmonieux !

    III

    Et si le soir, après mille errantes pensées,
    De sentiers en sentiers en marchant dispersées,
    Du haut de la colline on descend vers ce toit
    Qui vous a tout le jour, dans votre rêverie,
    Fait regarder en bas, au fond de la prairie,
    Comme une belle fleur qu'on voit ;

    Et si vous êtes là, vous dont la main de flamme
    Fait parler au clavier la langue de votre âme ;
    Si c'est un des moments, doux et mystérieux,
    Où la musique, esprit d'extase et de délire
    Dont les ailes de feu font le bruit d'une lyre,
    Réverbère en vos chants la splendeur de vos yeux ;

    Si les petits enfants, qui vous cherchent sans cesse,
    Mêlent leur joyeux rire au chant qui vous oppresse ;
    Si votre noble père à leurs jeux turbulents
    Sourit, en écoutant votre hymne commencée,
    Lui, le sage et l'heureux, dont la jeune pensée
    Se couronne de cheveux blancs ;

    Alors, à cette voix qui remue et pénètre,
    Sous ce ciel étoilé qui luit à la fenêtre,
    On croit à la famille, au repos, au bonheur ;
    Le cœur se fond en joie, en amour, en prière ;
    On sent venir des pleurs au bord de sa paupière ;
    On lève au ciel les mains en s'écriant : Seigneur !

    IV

    Et l'on ne songe plus, tant notre âme saisie
    Se perd dans la nature et dans la poésie,
    Que tout près, par les bois et les ravins caché,
    Derrière le ruban de ces collines bleues,
    À quatre de ces pas que nous nommons des lieues,
    Le géant Paris est couché !

    On ne s'informe plus si la ville fatale,
    Du monde en fusion ardente capitale,
    Ouvre et ferme à tel jour ses cratères fumants ;
    Et de quel air les rois, à l'instant où nous sommes,
    Regardent bouillonner dans ce Vésuve d'hommes
    La lave des événements !
  3. Poeme

    Posté 18 juin 2003

    Oui, c'est bien le vallon ! le vallon calme et sombre !
    Ici l'été plus frais s'épanouit à l'ombre.
    Ici durent longtemps les fleurs qui durent peu.
    Ici l'âme contemple, écoute, adore, aspire,
    Et prend pitié du monde, étroit et fol empire
    Où l'homme tous les jours fait moins de place à Dieu !

    Une rivière au fond ; des bois sur les deux pentes.
    Là, des ormeaux, brodés de cent vignes grimpantes ;
    Des prés, où le faucheur brunit son bras nerveux ;
    Là, des saules pensifs qui pleurent sur la rive,
    Et, comme une baigneuse indolente et naïve,
    Laissent tremper dans l'eau le bout de leurs cheveux.

    Là-bas, un gué bruyant dans des eaux poissonneuses
    Qui montrent aux passants les jambes des faneuses ;
    Des carrés de blé d'or ; des étangs au flot clair ;
    Dans l'ombre, un mur de craie et des toits noirs de suie ;
    Les ocres des ravins, déchirés par la pluie ;
    Et l'aqueduc au loin qui semble un pont-de-l'air.

    Et, pour couronnement à ces collines vertes,
    Les profondeurs du ciel toutes grandes ouvertes,
    Le ciel, bleu pavillon par Dieu même construit,
    Qui, le jour, emplissant de plis d'azur l'espace,
    Semble un dais suspendu sur le soleil qui passe,
    Et dont on ne peut voir les clous d'or que la nuit !

    Oui, c'est un de ces lieux où notre cœur sent vivre
    Quelque chose des cieux qui flotte et qui l'enivre ;
    Un de ces lieux qu'enfant j'aimais et je rêvais,
    Dont la beauté sereine, inépuisable, intime,
    Verse à l'âme un oubli sérieux et sublime
    De tout ce que la terre et l'homme ont de mauvais !

    II

    Si dès l'aube on suit les lisières
    Du bois, abri des jeunes faons,
    Par l'âpre chemin dont les pierres
    Offensent les mains des enfants,
    À l'heure où le soleil s'élève,
    Où l'arbre sent monter la sève,
    La vallée est comme un beau rêve.
    La brume écarte son rideau.
    Partout la nature s'éveille ;
    La fleur s'ouvre, rose et vermeille ;
    La brise y suspend une abeille,
    La rosée une goutte d'eau !

    Et dans ce charmant paysage
    Où l'esprit flotte, où l'oeil s'enfuit,
    Le buisson, l'oiseau de passage,
    L'herbe qui tremble et qui reluit,
    Le vieil arbre que l'âge ploie,
    Le donjon qu'un moulin coudoie,
    Le ruisseau de moire et de soie,
    Le champ où dorment les aïeux,
    Ce qu'on voit pleurer ou sourire,
    Ce qui chante et ce qui soupire,
    Ce qui parle et ce qui respire,
    Tout fait un bruit harmonieux !

    III

    Et si le soir, après mille errantes pensées,
    De sentiers en sentiers en marchant dispersées,
    Du haut de la colline on descend vers ce toit
    Qui vous a tout le jour, dans votre rêverie,
    Fait regarder en bas, au fond de la prairie,
    Comme une belle fleur qu'on voit ;

    Et si vous êtes là, vous dont la main de flamme
    Fait parler au clavier la langue de votre âme ;
    Si c'est un des moments, doux et mystérieux,
    Où la musique, esprit d'extase et de délire
    Dont les ailes de feu font le bruit d'une lyre,
    Réverbère en vos chants la splendeur de vos yeux ;

    Si les petits enfants, qui vous cherchent sans cesse,
    Mêlent leur joyeux rire au chant qui vous oppresse ;
    Si votre noble père à leurs jeux turbulents
    Sourit, en écoutant votre hymne commencée,
    Lui, le sage et l'heureux, dont la jeune pensée
    Se couronne de cheveux blancs ;

    Alors, à cette voix qui remue et pénètre,
    Sous ce ciel étoilé qui luit à la fenêtre,
    On croit à la famille, au repos, au bonheur ;
    Le cœur se fond en joie, en amour, en prière ;
    On sent venir des pleurs au bord de sa paupière ;
    On lève au ciel les mains en s'écriant : Seigneur !

    IV

    Et l'on ne songe plus, tant notre âme saisie
    Se perd dans la nature et dans la poésie,
    Que tout près, par les bois et les ravins caché,
    Derrière le ruban de ces collines bleues,
    À quatre de ces pas que nous nommons des lieues,
    Le géant Paris est couché !

    On ne s'informe plus si la ville fatale,
    Du monde en fusion ardente capitale,
    Ouvre et ferme à tel jour ses cratères fumants ;
    Et de quel air les rois, à l'instant où nous sommes,
    Regardent bouillonner dans ce Vésuve d'hommes
    La lave des événements !
  4. La Meilleure Voiture Du Monde, C'est La Femme

    Posté 6 juin 2003

    La meilleure voiture du monde, c'est la femme !
    En voici les raisons :
    1- Elle démarre sans manivelle mais au doigt.
    2- Elle marche avec les sens.
    3- Elle est utilisable avec ou sans capote.
    4- On la monte sans permis.
    5- Toutes les bougies s'y adaptent.
    6- Elle se graisse automatiquement quand le gicleur est à fond.
    7- Elle se vidange tous les mois.
    8- A l'état normal, elle fait du 69.
    9- Bien réglée, elle fait du 100.
    10- En cas d'incendie, elle fait le pompier.
    11- On peut la monter par devant et par derrière.
    12- Bien gonflée, elle tient neuf mois.
    13- Elle est antipollution, elle avale la fumée.
    14- Bien chauffée, bien rodée, elle tire convenablement.
    15- Elle n'use pas les routes mais les biroutes.
    16- Dans tous les pays, elle jouit d'une flatteuse réputation.
    17- Sa tenue est correcte sur autoroute, irréprochable sur biroute.
    18- La sécurité est assurée même dans les tête-à-queue.
    19- Quand on possède une voiture de ce type, on ne trouve jamais la marche arrière.
    20- En agglomération, quand elle prend une queue, elle suce.
    21- Pour la garder en état, un seul conseil : lavez-la, mais lavez-la souvent.
    22- Elle posséde un double airbag en série 23- Elle ne consomme que 5ml par voyage 24- Dégivrage arrière en option 25- Attention, nous vous rappellons que la "Femme" n'existe qu'en version 3 portes.
    26- quand on a vraiment chaud, sans la capote, c'est quand même mieux 27- bien qu'on n'en ait jamais rencontré, il est reconnu qu'il existe des modèles simulateurs 28- la carrosserie est disponible en différents modèles et teintes 29- la boite de vitesse est disponible en automatique ou manuel
    :lol: :lol: :lol:
  5. La Meilleure Voiture Du Monde, C'est La Femme

    Posté 6 juin 2003

    La meilleure voiture du monde, c'est la femme !
    En voici les raisons :
    1- Elle démarre sans manivelle mais au doigt.
    2- Elle marche avec les sens.
    3- Elle est utilisable avec ou sans capote.
    4- On la monte sans permis.
    5- Toutes les bougies s'y adaptent.
    6- Elle se graisse automatiquement quand le gicleur est à fond.
    7- Elle se vidange tous les mois.
    8- A l'état normal, elle fait du 69.
    9- Bien réglée, elle fait du 100.
    10- En cas d'incendie, elle fait le pompier.
    11- On peut la monter par devant et par derrière.
    12- Bien gonflée, elle tient neuf mois.
    13- Elle est antipollution, elle avale la fumée.
    14- Bien chauffée, bien rodée, elle tire convenablement.
    15- Elle n'use pas les routes mais les biroutes.
    16- Dans tous les pays, elle jouit d'une flatteuse réputation.
    17- Sa tenue est correcte sur autoroute, irréprochable sur biroute.
    18- La sécurité est assurée même dans les tête-à-queue.
    19- Quand on possède une voiture de ce type, on ne trouve jamais la marche arrière.
    20- En agglomération, quand elle prend une queue, elle suce.
    21- Pour la garder en état, un seul conseil : lavez-la, mais lavez-la souvent.
    22- Elle posséde un double airbag en série 23- Elle ne consomme que 5ml par voyage 24- Dégivrage arrière en option 25- Attention, nous vous rappellons que la "Femme" n'existe qu'en version 3 portes.
    26- quand on a vraiment chaud, sans la capote, c'est quand même mieux 27- bien qu'on n'en ait jamais rencontré, il est reconnu qu'il existe des modèles simulateurs 28- la carrosserie est disponible en différents modèles et teintes 29- la boite de vitesse est disponible en automatique ou manuel

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