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Bonjour,


je vous invite à visionner l'exécution d'un condamné au Somaliland, une province hors la loi.

voici la vidéo :


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Je trouve qu'il s'agit d'un acte barbare. Heureusement qu'on vit à Djibouti. Ces fous somaliens à la recherche de l'argent facile et du sang iront en enfer.

Djibouto

La République auto-proclamée du Somaliland connaît des dissensions internes. Les Issacks sont en désarroi, la sécession est devenue une désillusion.
Les anciens alliés de Syad Barré dirigent Hargeisa.
Djibouti a un devoir d’ingérence sur le Somaliland pour éviter un afflux de réfugiés.
Faut-il organiser une conférence sur le ''Somaliland'' et éviter son atomisation et un bain de sang aux conséquences incalculables ?


Lire les nouvelles d’IRIN.(Nations Unies)


Hundreds flee inter-clan clashes in Somaliland

HARGEISA, 8 April 2009 (IRIN) - Hundreds of families in Somalia's self-declared republic of Somaliland have fled inter-clan fighting in the mid-west Satiile area in Gabiley region, officials said.
The fighting, the second flare-up in three months, started on 7 April after a group of men drove into Satiile settlement area and shot dead a local farmer and wounded his brother.
Ahmed-Bare Sa’id Kibar, a village elder in Satiile, said at least 200 families had fled from Xar-Makahiil, Dacawalay, Laaca, Maslayaha, Jaldhaabta and Satiile farmland settlements to Adado Dhaadheeray, Kalabaid. Some of the families had fled to Gabiley, the region's capital, he added.
Elabe Mohamoud Hufane, the deputy mayor of Dilla District in Awdal region, said: "We received reports mid-morning yesterday that a man, identified as Ahmed Yasin Kule, had been shot dead on his farm while his brother survived and managed to flee.
"We went there to calm the situation with the district police; we were told the men who shot dead Ahmed Yasin were from Elberdale area in the north, where a land-based conflict had started some time ago."
In late February, two men were shot dead following inter-clan fighting between the Reer Hared of Gabiley region and the Reer Nour of Awdal region. The conflict dates back to 1998 when the clans confronted each other over the war between the Somali National Movement (Somaliland's liberation organisation in 1981-1991) and the army, which was loyal to the late Mohamed Siyad Barre, then Somali president. At the time, the Reer Nour supported Barre while Reer Hared supported the liberation movement.
Over the past two decades, attempts to reconcile the two were made and a ceasefire agreed but the issue has since transformed into a land conflict, focusing on a farming development project founded by Sheikh Muhumed Rage in the late 1950s.
After the February clashes, a committee from Somaliland's upper house of parliament, the Guurti, toured the region. The committee was also in the area when the latest clashes erupted, according to Hufane.
"We met several dozen families fleeing to Dilla District, and we spoke to them urging them not to flee but they went ahead saying they feared for their security," Hufane said.

Depuis la chute de Syad Barré, la situation humanitaire ne s’est pas améliorée et les rares travailleurs encore présents sont confrontés aux pillages , au racket et à l’insécurité permanente.

Difficile de vivre sans escorte, quand on est employé dans une organisation humanitaire en Somalie. Dans certains endroits, les mesures de protection ne concernent pas seulement les expatriés et leurs installations, mais aussi des Somaliens à la tête de projet d’assistance de santé et de nourriture, considérés comme stratégiques.

Dans la république auto-proclamée du Somaliland, Hargeisa police s’adonne à des activités criminelles (kidnapping, extortion ). Malgré le limogeage du Commandant Mahamoud Doualeh Hersi, Hargeisa police continue son activité clandestine pour arrondir les salaires misérables.

Quant aux pirates somaliens, puissamment armés et organisés comme des commandos militaires, ils menacent la sécurité de toutes vitales pour la marine marchande.

Au Sud de la Somalie, la milice Al Shabab a instauré un climat de terreur dans les zones qu’elle contrôle.

La solution : abandonner la Somalie ou l’annexer comme préconise les intellectuels du Kenya ?


djibouto

Le Criminel Nouraldine Ahmed Abdi, un pédophile membre du réseau d’Al-Qaida du Somaliland.


Nouraldine Ahmed Abdi est né en 1976 à Djibouti. Après avoir échoué ses études primaires, il s’est lancé dans la criminalité juvénile, vol à étalage, vente de hashish, prostitution.
En 1996, il a voyagé en Arabie Saoudite et a fait la connaissance du réseau Al-Qaida.
Il a reçu des contacts en Somalie pour suivre une formation de maniement des armes destinées aux réseaux intégristes.

Il s’adonne à l’alcool à Addis Ababa pour cacher son appartenance à la mouvance terroriste.

Il s’intéresse actuellement à l’installation d’une bombe dans un laptop.

En effet, le Criminel Nouraldine Ahmed Abdi Gouled a séjourné à Hargeisa en mai 2008 et volé divers laptops avec la complicité d’un officier de police corrompu de Hargeisa, Mohamed le rouge.


Il a élargi son réseau criminel en adhérant aux Tribunaux Islamiques par l’intermédiaire d’Ali le Bandit, un Idagaleh connu pour les trafics de faux papiers vers Djibouti et sa haine envers l’Occident.

Nouraldine vit actuellement à Djibouti comme agent dormant d’Al-Qaida. Il s’intéresse aux intérêts éthiopiens et américains dans l’ancienne colonie française et aux trafics d'armes entre Djibouti et le Somaliland.



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