La Féminisation De L'homme
#1
Posté 15 mars 2006 - 04:08
Quelqu'un dont j'ai oublié le nom vient de sortir un livre sur la féminisation de l'homme et la remise en cause de sa virilité.
En effet il s'épile, se parfume, ne rechigne plus (ou moins) aux tâches ménagères et j'en passe, bref l'homme devient une femme comme les autres.
Qu'est-ce que la virilité pour vous aujourd'hui?
#2
Posté 15 mars 2006 - 04:16
Real_0G, le Wednesday 15 March 2006, 3:08, dit :
Quelqu'un dont j'ai oublié le nom vient de sortir un livre sur la féminisation de l'homme et la remise en cause de sa virilité.
En effet il s'épile, se parfume, ne rechigne plus (ou moins) aux tâches ménagères et j'en passe, bref l'homme devient une femme comme les autres.
Qu'est-ce que la virilité pour vous aujourd'hui?
Ca me derange pas un homme qui s'epile les sourcils, fais la vaisselle ou se parfume!!!
Je crois que meme je les prefere comme ca!
Je ne sais pas qui voudrait d'un gars qui pue et qui ne fais pas les taches menageres? Wallen maybe

#3
Posté 15 mars 2006 - 02:28
Real_0G, le Wednesday 15 March 2006, 1:08, dit :
Quelqu'un dont j'ai oublié le nom vient de sortir un livre sur la féminisation de l'homme et la remise en cause de sa virilité.
En effet il s'épile, se parfume, ne rechigne plus (ou moins) aux tâches ménagères et j'en passe, bref l'homme devient une femme comme les autres.
Qu'est-ce que la virilité pour vous aujourd'hui?

hmm la virilite....Voila Une question Pr Aramis

Je ne crois pas que la virilite ait quoi que ce soit a voir avec le fait de rechigner aux taches menageres, pis 1 homme qui sent bon ne veux pas dire, qu'il n'est pas un homme! C'est meme plutot nornal nan ?
qu'il s'epile.....ben Je dois dire que C un peu louche mais c'est une question de gout , de ttes facons la notion de virilite reste subjective et que chacun y met ce qu'il veut bien y mettre..... Ca n'est finalement qu'une question de gout personnel

Hoyooy la'aantaa higgaad lama barteenoo ,hoyooy la'aantaa hadal lama kareenoo....(hadraawi)
I like 2 make people smile , so really I'll do just about anything to get a laugh....
Allah huma laka al hamdu hadaytana lil Islam...Wa alamtana al hikmata wal quran....(Al Sudais )
#4
Posté 15 mars 2006 - 06:01
Privé de ses propres mots, l'homme (mâle) a été peu à peu privé d'une pensée propre.
La machine est rodée. Implacable. D'abord, on ne lui parle que de grands principes, d'universel, d'humanité: il n'y a plus d'hommes, il n'y a plus de femmes, rien que des êtres humains égaux, forcément égaux, mieux qu'égaux, identiques, indifférenciés, interchangeables. Le discours qui confond ses propres valeurs avec celles de l'humanité est celui de toutes les puissances dominantes, de l'Empire romain jusqu'à la grande nation, du bon temps des colonies jusqu'à l'american way of life.
Des hommes avec ou sans majuscule au temps d'une société patriarcale. Et puis, dans un second temps, on suggère la supériorité évidente des « valeurs » féminines, la douceur sur la force, le dialogue sur l'autorité, la paix sur la guerre, l'écoute sur l'ordre, la tolérance sur la violence, la précaution sur le risque. Et tous, hommes et femmes, surtout les hommes, de communier dans cette nouvelle quête du Graal. La société unanime somme les hommes de révéler la « féminité» qui est en eux. Avec une bonne volonté confondante, suspecte, malsaine, les hommes font tout ce qu'ils peuvent pour réaliser ce programme ambitieux: devenir une femme comme les autres. Pour surmonter enfIn leurs archaïques instincts. La femme n'est plus un sexe mais un idéal.
Le premier sexe, p. 10-11
Jadis, Madame Bovary prenait un amant pour connaître la vie rêvée des Parisiennes dont elle lisait les aventures dans la littérature de gare.
Aujourd'hui, les jeunes filles, toujours au bord de l'anorexie, se fabriquent un corps de garçonnet pour plaire à des créateurs homosexuels qui n'aiment pas les femmes, qui les considèrent comme de simples « portemanteaux , et les terrorisent pour quelques grammes de trop, quelques onces de rondeur, de douceur, de féminité qu'ils ne veulent pas voir. Le snobisme mimétique des hommes - avoir la femme qui prouvera aux yeux des autres hommes qu'ils ont réussi, comme une belle voiture de sport - les pousse à désirer ces femmes. La bataille de l'élite est donc gagnée. En revanche, comme le remarque Lagerfeld, toujours très fin, l'homme de la rue résiste. Lui continue à désirer «le gros derrière» de Jennifer Lopez, les rondeurs de Sophie Marceau ou Monica Belluci, la «beauté grecque» de Laetitia Casta. Et reste insensible aux charmes androgynes des mannequins russes.
Ibidem, p. 21
Les mêmes mots, les mêmes rejets, les mêmes engouements se retrouvent ainsi chez les militants homosexuels et les féministes, au point que l'on peut parler d'alliance objective. Les rares hommes politiques qui assument ou revendiquent leur homosexualité sont aussi les féministes les plus ostentatoires. Il y a une rencontre sociologique, au cœur des grandes villes, entre homosexuels, militants ou pas, et femmes modernes, pour la plupart célibataires ou divorcées.
Le cœur de cible de ce fameux électorat bobo. Mêmes revenus, mêmes modes de vie, même idéologie «moderniste», « tolérante », multiculturelle. À Berlin, Hambourg et Paris, ces populations ont élu comme édiles trois maires homosexuels - et fiers de l'être - qui ont la conviction de porter un nouvel art de vivre, une nouvelle renaissance. Peu à peu, la production, l'activité industrielle, toute activité productive ou même du négoce de marchandises ont été expulsées de ce villes transformées en musée pour touristes ou casino virtuel pour prédateurs de la finance - l'industrie c'est sale, c'est noir, c'est un travail d'hommes aux mains calleuses et aux mœurs rudes. Peu à peu, les ouvriers puis les classes moyennes ont été expulsé de ces paradis par la spéculation immobilière, il ne reste plus que les gens très aisés, les fameux bobos et les familles immigrées, avec ou sans papiers mono ou polygames, peu importe, puisque leur rôle est de servir - à bas prix - les nouveaux maîtres de la culture et de la fête.
Ibidem, p. 24-25
On dira, c'est l'Amérique, le puritanisme américain.
Ou, comme Élisabeth Badinter, le féminisme radical, américain lui aussi, inspiré de groupes de lesbiennes. Ainsi les communistes ont-ils un temps distingué Staline - ses erreurs et ses crimes - de Lénine - qui aurait vu juste. Le distinguo a fini par s'écrouler. Le stalinisme était déjà dans le léninisme. De même, le féminisme est un bloc. C'est une vision du monde, une volonté de changer la femme et l'homme. Une ambition prométhéenne. "Effacer cinq mille ans de distinction des rôles et des univers", comme l'a très bien écrit Élisabeth Badinter. En somme, détruire l'héritage judéo-chrétien. C'est justement en cela que le féminisme est un "-isme" du xx' siècle qui ne peut échapper à ses démons totalitaires. En France, la "campagne" contre la prostitution en est l'exemple le plus récent.
Ibidem, p. 53-54
Deux siècles pour ça.
Ces chiffres ne sont pas sans conséquence sur le destin de nos pays.
Les plus grands démographes nous alarment quant au devenir de l'Allemagne ou de l'Italie, le peuplement de ce dernier pays devant tomber à vingt millions de personnes d'ici quelques décennies seulement. Depuis trente ans, on s'extasie sur la maîtrise parfaite, entre contraception et avortement, de la fécondité par les femmes. On ne dit jamais que la fin de cette histoire est funeste, qu'elle se conjugue justement avec la fin de l'histoire, avec la disparition programmée des peuples européens. Comme si un spectre hantait cette féminisation des sociétés occidentales, qui commença sous de si riants auspices, comme si cet appel à la vie, à l'amour, make love not war, devait finir tragiquement par la disparition collective. Comme si le mâle était maudit, et retrouvait in fine cette mort qu'il ne voulait plus donner.
Symboliquement, tout s'est passé comme si les vieux peuples fatigués renonçaient à se reproduire eux-mêmes et appelaient à la rescousse des plus vigoureux, plus juvéniles. Tout s'est passé comme si les hommes français et européens, ayant posé leur phallus à terre, ne pouvant ou ne voulant plus féconder leurs femmes devenues rétives, avaient appelé au secours leurs anciens « domestiques » qu'ils avaient émancipés. Tout s'était passé comme si la France, et l'Europe, devenue uniformément femme s'était déclarée terre ouverte, attendant d'être fécondée par une virilité venue du dehors.
Ibidem, p. 106-107-108
Le cas des jeunes Juifs des quartiers populaires, dans Paris ou en banlieue, est fort instructif.
Ils ont eux aussi trouvé une virilité par procuration. Ils sont sionistes. Israël et son armée, et ses chars, ses avions, tous ces phallus de fer et d'acier, son mépris des organisations internationales, les coups de menton virils d'Ariel Sharon.
Ils ne se trompent pas. Le sionisme est d'abord une tentative historique d'en finir avec l'image « féminisée» du Juif européen, ce Juif aux mains fines et de santé fragile, ce Juif du ghetto, étudiant en théologie, fouetté par des cosaques brutaux et avinés, ce Juif intellectuel des pays d'Occident, amateur de livres et d'objets rares, ce Juif qui n'abîme pas ses mains dans la terre ni à la guerre, ce Juif religieux qui refuse toute activité sportive.
Ce Juif honni, le sionisme veut s'en débarrasser, il veut le régénérer par le travail de la terre (les kibboutz) et la guerre. Le soldat-paysan est le modèle du sionisme, pour enterrer définitivement le Juif féminisé de l'exil. Cette régénération explique que les dirigeants israéliens comme Sharon restent sourds aux appels de ceux qui les somment de cesser leur politique brutale à l'égard des Palestinens au nom des « valeurs juives ».
Cette régénération explique aussi l'irréductible opposition du monde arabe à Israël. Dans l'imaginaire millénaire des Arabes, le Juif a toujours vécu à côté d'eux, pacifiquement, mais il ne pouvait pas porter d'arme, il avait un statut juridique et fiscal inférieur. ils acceptaient volontiers que les Juifs les plus doués, les plus intelligents, les plus instruits, devinssent conseillers du roi, financiers ou écrivains. Des esprits raffinés et délicats comme les femmes, que l'on vénère tout en les tenant dans un statut second, inférieur, soumis. Mais une "femme" qui fait pousser des oranges dans le désert et gagne toutes les guerres contre des soldats arabes, des vrais hommes. ils ne s'en sont jamais remis.
Ibidem, p. 111-112
Comme tous les petits mâles depuis le début de l'Humanité, les jeunes Arabes ont peur des femmes.
Peur de ces machines à castrer, peur de ne pas être à la hauteur de leur appétit qu'ils espèrent et craignent insatiable. Autour de la Méditerranée, on règle depuis toujours cette peur de la féminité en exprimant une virilité exacerbée, surjouée, et en dissimulant les attraits de la sensualité féminine, cheveux et chevilles, poitrines et hanches, sous des vêtements amples, informes. Nos Arabes réagissent ainsi. Les plus religieux obligent leurs sœurs à se voiler; les autres exigent des filles qu'elles portent les mêmes vêtements qu'eux, survêtements, tennis. Ainsi, grimées en garçons, elles leur font moins peur.
Si elles persistent à se vouloir féminines, à vouloir leur faire peur, à mettre au défi leur virilité incertaine et fragile, alors, pour pouvoir les désirer, pour être sûr de bander, ils appliquent l'autre méthode masculine, le plan B des hommes depuis l' Homo sapiens, l'irrespect militant, d'autant plus furieux, violent même, qu'il est inquiet. Seules la « @!#$e », la « pute» peuvent réveiller le désir fragile du mâle.
Ibidem, p. 113-114
En 1974, lors de la crise pétrolière, les autorités françaises ont hésité entre le renvoi dans leur pays de ceux dont on n'avait plus besoin dans nos usines et l'accueil de ces futurs chômeurs.
Nous avons choisi la solution « humaniste ».
Notre société féminine ne supportait pas la cruauté de la rupture.
Nous avons refusé la solution d'hommes, qui renvoient ceux qu'ils considèrent inconsciemment comme des rivaux dans la compétition pour la conquête des femmes. Nous avons préféré la douceur d'une solution féminine, l'accueil, l'intégration. Ce mot devint incantation, religion, conjuration. Il remplaça le modèle traditionnel français de l'assimilation. Renoncer à assimiler les immigrés et leurs enfants, c'était renoncer à leur imposer - virilement - notre culture.
Devant cette ultime preuve de faiblesse française, si féminine, les enfants de ces immigrés préféreront renouer avec la loi de leur père idéalisé, les venger. Leur mère les approuvait. Ils seraient leur revanche. Pour cela, ils transgresseront allégrement la loi française, cette marâtre qu'ils haïssent. Ils seront, eux, des hommes, dans cette société de « zessegon ». Ils vont « niquer la France ». La France, cette femme, cette « @!#$e », cette « putain ».
Eux, les hommes. Ils vont brûler, détruire, immoler les symboles de sa douce protection maternante, les écoles, les transports en commun, les pompiers. Ils vont caillasser les seuls hommes qu'elle leur envoie pour la défendre: les policiers. Ces flics qu'ils « haïssent ». Les seuls qui osent les affronter encore dans un combat entre hommes. Un combat où est en jeu la domination virile. Un combat qui ne peut être qu'à mort.
Ibidem, p. 116-117
C'est tout le paradoxe féminin.
Les femmes conduisent quand la vitesse est limitée ; elles fument quand le tabac tue ; elles obtiennent la parité quand la politique ne sert plus à grand-chose; elles votent à gauche quand la Révolution est finie; elles deviennent un argument de marketing littéraire quand la littérature se meurt ; elles découvrent le football quand la magie de mon enfance est devenue un tiroir-caisse.
Il y a une malédiction féminine qui est l'envers d'une bénédiction. Elles ne détruisent pas, elles protègent. Elles ne créent pas, elles entretiennent. Elles n'inventent pas, elles conservent. Elles ne forcent pas, elles préservent. Elles ne transgressent pas, elles civilisent. Elles ne règnent pas, elles régentent. En se féminisant, les hommes se stérilisent, ils s'interdisent toute audace, toute innovation, toute transgression. ils se contentent de conserver.
On explique en général la stagnation intellectuelle et économique de l'Europe par le vieillissement de sa population. Mais Cervantes écrivit Don Quichotte à soixante-quinze ans; de Gaulle revint au pouvoir à soixante-huit, et le chancelier allemand Adenauer à plus de soixante-dix.
On ne songe jamais - ou on n'ose jamais songer - à sa féminisation.
Ibidem, p. 128-129
#5
Posté 15 mars 2006 - 07:09
soon will see guys saying darling "ce soir jai mal a la tete"
ou bien
"Mais cherie tu comprends pas je suis amoureux



#6
Posté 15 mars 2006 - 07:17
Desaxee, le Wednesday 15 March 2006, 2:16, dit :
Je crois que meme je les prefere comme ca!
Je ne sais pas qui voudrait d'un gars qui pue et qui ne fais pas les taches menageres? Wallen maybe

Pkoi moi?

Moi ça me dérange qu'il s'épile les sourcils...et puis quoi encore? Après il va essayer mes sousvetements...comme Dino Morena

Par contre ton mec va même mettre des bigoudis.....................................t'es assez virile pour deux Desax

Serieux, si feminisation = un mec qui fait les taches menageres et n'est plus faché avec le savon moi je dis hell yeah, pr le reste faut pas pousser, s'il passe plus de tps que moi ds la salle de bain il va y avoir malaise

Will Rogers
Love makes the world go round
#7
Posté 15 mars 2006 - 07:28
Tico vote pour l'homme de la rue! Va pour J-LO et son derrière d'otarie...
"Adiguna miiranay naftan iilka loo sido, sacabada ku soo qaad"
#8
Posté 16 mars 2006 - 04:53
Real_0G, le Wednesday 15 March 2006, 2:08, dit :
Quelqu'un dont j'ai oublié le nom vient de sortir un livre sur la féminisation de l'homme et la remise en cause de sa virilité.
En effet il s'épile, se parfume, ne rechigne plus (ou moins) aux tâches ménagères et j'en passe, bref l'homme devient une femme comme les autres.
Qu'est-ce que la virilité pour vous aujourd'hui?
Salut Real_OG,
Ces explorations font scandale aujourd'hui parce qu'elles n'ont aucune utilité, le côté pratique est réduit et je pense qu'elles remettent en cause terriblement l'image de l'homme!! Mais tout de même, l'homme a un corps et il a le droit de le montrer dans un contexte autre que sportif, lequel prétexte est rassurant, ne remet pas en question sa puissance ou estival

#9
Posté 20 mars 2006 - 09:44
En effet, son analyse est pertinente sur la societe francaise,frustree par les rapport egalitaires homme/femmes..notre cher amie nous parle de la feminisation de l'homme ..principale cause de divorce...il dit que l homme doit s'occupe des taches a l exterieur de la maison.il doit etre en quelques sorte l ouverture vers le monde et bien evidement il ne doit pas s'occuper des taches menagere ,tache qui incombe exclusivement a la femme(alxamdullilah j'aime pas faire le menage ) ect ect..bref ce type ,ce chere zemmour decrit que la societe francaise fantasme sur les mecs de la cite (bisarre non??) car leur comportement machiste et souvent importer du magrehb et des pays noirs africains font d eux de veritables hommes...reversement de situation..(les emeutiers sont envie ahahahahah)c est trop trop chelou..!
bref j ai pas encore lu ce livre(le premier sexe) mais a 1ere vu il est super interressant ..merci au jeune homme d avoir poste pour nous quelques extraits du livre..!
#10
Posté 20 mars 2006 - 04:19
un pote, le Monday 20 March 2006, 8:44, dit :
Bissinka tu crois que les femmes aiment faire le menage? que le Javel ca les excite? qu'elles frottent le parquet avec amour? Et qu'elles revent de depoussierer le sejour le samedi soir?
Mon pote tu es ne en Arabie Saoudite ou quoi? J'ai un scoop pour toi: Personne n'aime faire le menage.
Personne!!! Ni moi, ni toi, ni le Pape.
Mais ca fait partie de l'hygiene, tu es oblige de faire le linge, nettoyer ta cuisine avant que les rats debarquent et passer l'aspirateur. C'est un devoir humain car sinon deja tu pue (socialement rejete donc), deux aucun priere n'es acceptee (car il faut prier dans un lieu propre et avec des vetements propres).
Tu penses donc que ta femme va tout faire et avec le sourire en plus car tu n'aimes pas faire le menage?
Tu dois revise ton Alxamdulilah, je n'aime pas faire le menage, car ca veut dire que tu es a la recherche d'une femme qui fera ton boulot a ta place, comme RObinson Crusoe qui apres le crash sur l'ile, la premiere idee qui lui est venue etait de trouver "un esclave" pour s'oocuper de lui, Mon pote est dans sa quete.
RObinson a trouve "Vendredi", je penses que tu trouveras ta "jimca" aussi

#11
Posté 20 mars 2006 - 11:43
anyways..essaies juste de ne pas te la joue zorette a doights de fer ..capiche ..marzi pocoup!
#12
Posté 21 mars 2006 - 12:07
Si un jour je ma marie je vais acheter le lavevaisselle avant la télé

Là pas besoin, je fais chanter mes frères....chaque semaine ils ont un truc à se reprocher je les adore

Je crois que la dernière fois que j'ai lavé un plat remonte à la dernière fois ou un pote s'est brossé les dents c'est vs dire


PS: Desaxee faut regarder "How Clean is Your House" ("C'est du propre" en français sur M6 ) t'apprends des trucs de malade sur le ménage, j'adore


Ce message a été modifié par Wallen - 21 mars 2006 - 12:13 .
Will Rogers
Love makes the world go round
#13
Posté 21 mars 2006 - 02:22
un pote, le Monday 20 March 2006, 22:43, dit :
anyways..essaies juste de ne pas te la joue zorette a doights de fer ..capiche ..marzi pocoup!
Blah Blah!!!!
Conclusion koi? Que tu comptes sur une femme pour faire ton menage? Allez dis le plus fort. SOis fier de tes idees que Diable!!!
Wallen, le Monday 20 March 2006, 23:07, dit :

une forme de vie?



#15
Posté 21 mars 2006 - 06:12
idrooo, le Wednesday 15 March 2006, 16:01, dit :
Privé de ses propres mots, l'homme (mâle) a été peu à peu privé d'une pensée propre.
La machine est rodée. Implacable. D'abord, on ne lui parle que de grands principes, d'universel, d'humanité: il n'y a plus d'hommes, il n'y a plus de femmes, rien que des êtres humains égaux, forcément égaux, mieux qu'égaux, identiques, indifférenciés, interchangeables. Le discours qui confond ses propres valeurs avec celles de l'humanité est celui de toutes les puissances dominantes, de l'Empire romain jusqu'à la grande nation, du bon temps des colonies jusqu'à l'american way of life.
Des hommes avec ou sans majuscule au temps d'une société patriarcale. Et puis, dans un second temps, on suggère la supériorité évidente des « valeurs » féminines, la douceur sur la force, le dialogue sur l'autorité, la paix sur la guerre, l'écoute sur l'ordre, la tolérance sur la violence, la précaution sur le risque. Et tous, hommes et femmes, surtout les hommes, de communier dans cette nouvelle quête du Graal. La société unanime somme les hommes de révéler la « féminité» qui est en eux. Avec une bonne volonté confondante, suspecte, malsaine, les hommes font tout ce qu'ils peuvent pour réaliser ce programme ambitieux: devenir une femme comme les autres. Pour surmonter enfIn leurs archaïques instincts. La femme n'est plus un sexe mais un idéal.
Le premier sexe, p. 10-11
Jadis, Madame Bovary prenait un amant pour connaître la vie rêvée des Parisiennes dont elle lisait les aventures dans la littérature de gare.
Aujourd'hui, les jeunes filles, toujours au bord de l'anorexie, se fabriquent un corps de garçonnet pour plaire à des créateurs homosexuels qui n'aiment pas les femmes, qui les considèrent comme de simples « portemanteaux , et les terrorisent pour quelques grammes de trop, quelques onces de rondeur, de douceur, de féminité qu'ils ne veulent pas voir. Le snobisme mimétique des hommes - avoir la femme qui prouvera aux yeux des autres hommes qu'ils ont réussi, comme une belle voiture de sport - les pousse à désirer ces femmes. La bataille de l'élite est donc gagnée. En revanche, comme le remarque Lagerfeld, toujours très fin, l'homme de la rue résiste. Lui continue à désirer «le gros derrière» de Jennifer Lopez, les rondeurs de Sophie Marceau ou Monica Belluci, la «beauté grecque» de Laetitia Casta. Et reste insensible aux charmes androgynes des mannequins russes.
Ibidem, p. 21
Les mêmes mots, les mêmes rejets, les mêmes engouements se retrouvent ainsi chez les militants homosexuels et les féministes, au point que l'on peut parler d'alliance objective. Les rares hommes politiques qui assument ou revendiquent leur homosexualité sont aussi les féministes les plus ostentatoires. Il y a une rencontre sociologique, au cœur des grandes villes, entre homosexuels, militants ou pas, et femmes modernes, pour la plupart célibataires ou divorcées.
Le cœur de cible de ce fameux électorat bobo. Mêmes revenus, mêmes modes de vie, même idéologie «moderniste», « tolérante », multiculturelle. À Berlin, Hambourg et Paris, ces populations ont élu comme édiles trois maires homosexuels - et fiers de l'être - qui ont la conviction de porter un nouvel art de vivre, une nouvelle renaissance. Peu à peu, la production, l'activité industrielle, toute activité productive ou même du négoce de marchandises ont été expulsées de ce villes transformées en musée pour touristes ou casino virtuel pour prédateurs de la finance - l'industrie c'est sale, c'est noir, c'est un travail d'hommes aux mains calleuses et aux mœurs rudes. Peu à peu, les ouvriers puis les classes moyennes ont été expulsé de ces paradis par la spéculation immobilière, il ne reste plus que les gens très aisés, les fameux bobos et les familles immigrées, avec ou sans papiers mono ou polygames, peu importe, puisque leur rôle est de servir - à bas prix - les nouveaux maîtres de la culture et de la fête.
Ibidem, p. 24-25
On dira, c'est l'Amérique, le puritanisme américain.
Ou, comme Élisabeth Badinter, le féminisme radical, américain lui aussi, inspiré de groupes de lesbiennes. Ainsi les communistes ont-ils un temps distingué Staline - ses erreurs et ses crimes - de Lénine - qui aurait vu juste. Le distinguo a fini par s'écrouler. Le stalinisme était déjà dans le léninisme. De même, le féminisme est un bloc. C'est une vision du monde, une volonté de changer la femme et l'homme. Une ambition prométhéenne. "Effacer cinq mille ans de distinction des rôles et des univers", comme l'a très bien écrit Élisabeth Badinter. En somme, détruire l'héritage judéo-chrétien. C'est justement en cela que le féminisme est un "-isme" du xx' siècle qui ne peut échapper à ses démons totalitaires. En France, la "campagne" contre la prostitution en est l'exemple le plus récent.
Ibidem, p. 53-54
Deux siècles pour ça.
Ces chiffres ne sont pas sans conséquence sur le destin de nos pays.
Les plus grands démographes nous alarment quant au devenir de l'Allemagne ou de l'Italie, le peuplement de ce dernier pays devant tomber à vingt millions de personnes d'ici quelques décennies seulement. Depuis trente ans, on s'extasie sur la maîtrise parfaite, entre contraception et avortement, de la fécondité par les femmes. On ne dit jamais que la fin de cette histoire est funeste, qu'elle se conjugue justement avec la fin de l'histoire, avec la disparition programmée des peuples européens. Comme si un spectre hantait cette féminisation des sociétés occidentales, qui commença sous de si riants auspices, comme si cet appel à la vie, à l'amour, make love not war, devait finir tragiquement par la disparition collective. Comme si le mâle était maudit, et retrouvait in fine cette mort qu'il ne voulait plus donner.
Symboliquement, tout s'est passé comme si les vieux peuples fatigués renonçaient à se reproduire eux-mêmes et appelaient à la rescousse des plus vigoureux, plus juvéniles. Tout s'est passé comme si les hommes français et européens, ayant posé leur phallus à terre, ne pouvant ou ne voulant plus féconder leurs femmes devenues rétives, avaient appelé au secours leurs anciens « domestiques » qu'ils avaient émancipés. Tout s'était passé comme si la France, et l'Europe, devenue uniformément femme s'était déclarée terre ouverte, attendant d'être fécondée par une virilité venue du dehors.
Ibidem, p. 106-107-108
Le cas des jeunes Juifs des quartiers populaires, dans Paris ou en banlieue, est fort instructif.
Ils ont eux aussi trouvé une virilité par procuration. Ils sont sionistes. Israël et son armée, et ses chars, ses avions, tous ces phallus de fer et d'acier, son mépris des organisations internationales, les coups de menton virils d'Ariel Sharon.
Ils ne se trompent pas. Le sionisme est d'abord une tentative historique d'en finir avec l'image « féminisée» du Juif européen, ce Juif aux mains fines et de santé fragile, ce Juif du ghetto, étudiant en théologie, fouetté par des cosaques brutaux et avinés, ce Juif intellectuel des pays d'Occident, amateur de livres et d'objets rares, ce Juif qui n'abîme pas ses mains dans la terre ni à la guerre, ce Juif religieux qui refuse toute activité sportive.
Ce Juif honni, le sionisme veut s'en débarrasser, il veut le régénérer par le travail de la terre (les kibboutz) et la guerre. Le soldat-paysan est le modèle du sionisme, pour enterrer définitivement le Juif féminisé de l'exil. Cette régénération explique que les dirigeants israéliens comme Sharon restent sourds aux appels de ceux qui les somment de cesser leur politique brutale à l'égard des Palestinens au nom des « valeurs juives ».
Cette régénération explique aussi l'irréductible opposition du monde arabe à Israël. Dans l'imaginaire millénaire des Arabes, le Juif a toujours vécu à côté d'eux, pacifiquement, mais il ne pouvait pas porter d'arme, il avait un statut juridique et fiscal inférieur. ils acceptaient volontiers que les Juifs les plus doués, les plus intelligents, les plus instruits, devinssent conseillers du roi, financiers ou écrivains. Des esprits raffinés et délicats comme les femmes, que l'on vénère tout en les tenant dans un statut second, inférieur, soumis. Mais une "femme" qui fait pousser des oranges dans le désert et gagne toutes les guerres contre des soldats arabes, des vrais hommes. ils ne s'en sont jamais remis.
Ibidem, p. 111-112
Comme tous les petits mâles depuis le début de l'Humanité, les jeunes Arabes ont peur des femmes.
Peur de ces machines à castrer, peur de ne pas être à la hauteur de leur appétit qu'ils espèrent et craignent insatiable. Autour de la Méditerranée, on règle depuis toujours cette peur de la féminité en exprimant une virilité exacerbée, surjouée, et en dissimulant les attraits de la sensualité féminine, cheveux et chevilles, poitrines et hanches, sous des vêtements amples, informes. Nos Arabes réagissent ainsi. Les plus religieux obligent leurs sœurs à se voiler; les autres exigent des filles qu'elles portent les mêmes vêtements qu'eux, survêtements, tennis. Ainsi, grimées en garçons, elles leur font moins peur.
Si elles persistent à se vouloir féminines, à vouloir leur faire peur, à mettre au défi leur virilité incertaine et fragile, alors, pour pouvoir les désirer, pour être sûr de bander, ils appliquent l'autre méthode masculine, le plan B des hommes depuis l' Homo sapiens, l'irrespect militant, d'autant plus furieux, violent même, qu'il est inquiet. Seules la « @!#$e », la « pute» peuvent réveiller le désir fragile du mâle.
Ibidem, p. 113-114
En 1974, lors de la crise pétrolière, les autorités françaises ont hésité entre le renvoi dans leur pays de ceux dont on n'avait plus besoin dans nos usines et l'accueil de ces futurs chômeurs.
Nous avons choisi la solution « humaniste ».
Notre société féminine ne supportait pas la cruauté de la rupture.
Nous avons refusé la solution d'hommes, qui renvoient ceux qu'ils considèrent inconsciemment comme des rivaux dans la compétition pour la conquête des femmes. Nous avons préféré la douceur d'une solution féminine, l'accueil, l'intégration. Ce mot devint incantation, religion, conjuration. Il remplaça le modèle traditionnel français de l'assimilation. Renoncer à assimiler les immigrés et leurs enfants, c'était renoncer à leur imposer - virilement - notre culture.
Devant cette ultime preuve de faiblesse française, si féminine, les enfants de ces immigrés préféreront renouer avec la loi de leur père idéalisé, les venger. Leur mère les approuvait. Ils seraient leur revanche. Pour cela, ils transgresseront allégrement la loi française, cette marâtre qu'ils haïssent. Ils seront, eux, des hommes, dans cette société de « zessegon ». Ils vont « niquer la France ». La France, cette femme, cette « @!#$e », cette « putain ».
Eux, les hommes. Ils vont brûler, détruire, immoler les symboles de sa douce protection maternante, les écoles, les transports en commun, les pompiers. Ils vont caillasser les seuls hommes qu'elle leur envoie pour la défendre: les policiers. Ces flics qu'ils « haïssent ». Les seuls qui osent les affronter encore dans un combat entre hommes. Un combat où est en jeu la domination virile. Un combat qui ne peut être qu'à mort.
Ibidem, p. 116-117
C'est tout le paradoxe féminin.
Les femmes conduisent quand la vitesse est limitée ; elles fument quand le tabac tue ; elles obtiennent la parité quand la politique ne sert plus à grand-chose; elles votent à gauche quand la Révolution est finie; elles deviennent un argument de marketing littéraire quand la littérature se meurt ; elles découvrent le football quand la magie de mon enfance est devenue un tiroir-caisse.
Il y a une malédiction féminine qui est l'envers d'une bénédiction. Elles ne détruisent pas, elles protègent. Elles ne créent pas, elles entretiennent. Elles n'inventent pas, elles conservent. Elles ne forcent pas, elles préservent. Elles ne transgressent pas, elles civilisent. Elles ne règnent pas, elles régentent. En se féminisant, les hommes se stérilisent, ils s'interdisent toute audace, toute innovation, toute transgression. ils se contentent de conserver.
On explique en général la stagnation intellectuelle et économique de l'Europe par le vieillissement de sa population. Mais Cervantes écrivit Don Quichotte à soixante-quinze ans; de Gaulle revint au pouvoir à soixante-huit, et le chancelier allemand Adenauer à plus de soixante-dix.
On ne songe jamais - ou on n'ose jamais songer - à sa féminisation.
Ibidem, p. 128-129
ce livre est beau,je pense que vais l'acheter.
ce n'est pas la feminisation qui explique la disparition du mâle,mais la democratie!
ce regime de tapettes un peu perimé!
heureusement que j'ai pas grandis dans ce regime sinon j'aurais une touffe de cheveux sales sur la tete en train de geindre contre le cpe!
vous savez vous à quoi sert une manif?à quoi sert une election?
la democratie c'est la fin des hommes et le paradis des bhl et des finkielkraut!
la democratie c'est delanoe maire de paris qui decide pour des hommes, c'est des michele alliot marie qui distribue des blames et des mises à pieds aux generaux,c'est serait trop facile d'etre macho,mais comment cette dame bien sur elle même se serait-elle debrouillé sur un champ de bataille?
quel champ de bataille me direz vous?ça fait un bail que l'europe ne s'est battue contre personne!
par contre israel voilà un peuple couillu,qui en 50 ans est passé de l'opprésé àl'oppresseur,une perfomance!
la democratie c'est travestir la nature humaine,c'est etre tellement douillet que l'on ne supporte plus la "violence" du pere qui corrige son enfant!
la democratie c'est trouver beau un couple de lesbienne qui veut adopter un enfant et trouver moche (voire louche) une musulmane qui veut couvrir sa tête(sa tete à elle pas celle des autres)!
le feminisme ,le l'homosexualité,le laicisme,tous ces extremismes ne sont que la conséquence de la democratie!
la democratie,du moins l'extreme ou elle est portée aujourd'hui en occident,est contre nature!
on avait tellement peur de la tyrannie,qu'on est allé dans l'excés contraire,c'est à dire:tout ce qui est possible peut etre fait:
une femme de 62 ans peut avoir un enfant? la science le lui permet?alors elle peut l'avoir!
un viellard en a marre de la vie?il peut s'euthanasier,c'est son choix!
un con se trouve intelligent,c'est son droit,il peut venir faire chier le monde à la télé!
azraf
"l'occident est un accident,sa culture,une anomalie" roger garaudy.
"rien ne sert de partir à point, il faut courir." coluche