Procès De L'excision En France
#1
Posté 09 avril 2022 - 06:30
L'article ici : https://information....-famille-451500
Mais la terre est patiente"
#2
Posté 11 avril 2022 - 07:47
thorgal, le 10 avril 2022 - 05:30 , dit :
L'article ici : https://information....-famille-451500
L’éradication de ce phénomène prendra du temps , malheureusement …
Le sujet a été traité ici chez djibnet :
http://www.djibnet.c...tre-le-couteau/
#3
Posté 11 avril 2022 - 09:42
ELMI_, le 11 avril 2022 - 04:47 , dit :
Le sujet a été traité ici chez djibnet :
http://www.djibnet.c...tre-le-couteau/
Le sujet que tu nous ressors date de 17ans....tu aimes bien chercher les vieux sujets...
le sujet de ce post, lui est d'actualité ! !

Mais la terre est patiente"
#4
Posté 11 avril 2022 - 09:50
thorgal, le 12 avril 2022 - 08:42 , dit :
le sujet de ce post, lui est d'actualité ! !

La clémence a été fait,elle est en sursis ça te va.
Les chiffres de l’excision (mars 2014)
En s’appuyant sur des chiffres gouvernementaux, environ 98% des femmes âgées de 8 ans et plus subiraient l’excision, l’infibulation ou bien les deux à Djibouti. Il n’existe pas de statistique portant sur le taux de prévalence en fonction de l’ethnie ni de la religion. La statistique moyenne de femmes excisées à Djbouti entre 15 et 49 ans présentée par l’UNICEF est de 93%, 3ème pays le plus touché dans l’enquête de l’UNICEF, après la Somalie et la Guinée-Conakry.
Une enquête réalisée par le Comité national de lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes (CNPLTN) de Djibouti montre un taux inférieur : 82% des femmes interrogées (490 femmes entre 15 et 50 ans) ont subi des MGF.
Le rapport de l’UNICEF distingue deux groupes de femmes : celles entre 45 et 49 dont le taux de prévalence est de 95% et les filles âgées entre entre 15 et 19 ans dont le taux est de 90%. Notons ainsi que quel que soit l’âge, le pourcentage de filles ou femmes excisées à Djibouti reste très élevé. Les mesures législatives et gouvernementales, qui se sont accélérées depuis 2008 à Djibouti, auraient conduit à une diminution de 5% du taux de prévalence, de 98% à 93%.
Il semble que plus qu’une diminution notable des pratiques de MGF, serait constatée une évolution de pratique : la forme III de mutilation (infibulation) majoritairement pratiquée évoluerait vers la forme II.
L’environnement juridique
Le contexte legislatif
A Djibouti, l’excision est interdite depuis la révision du Code pénal, entrée en vigueur en avril 1995. L’article 333 du Code pénal interdit toutes les formes de violence : il prescrit que « la violence imposée par les mutilations génitales faites aux femmes est passible de cinq d’emprisonnement et d’une amende d’un million de francs Djiboutien » (environ 4000 Euros).
De plus, une loi a été votée en 2009 qui permet aux associations oeuvrant contre les MGF, de se porter partie civile à la place des victimes qui ne seraient pas en mesure de recourir à la justice.
La constitution
S’agissant de l’égalité femme/homme, la constitution djiboutienne du 15 septembre 1992 stipule dans son article 1 alinéa 2 que « l’Etat assure, à tous l’égalité devant la loi sans distinction de langue, d’origine, de race, de sexe et de religion ». L’article 10 ajoute que « tous les êtres humains sont égaux devant la loi ». Plus spécifiquement, concernant les droits constitutionnels des femmes, notamment contre les pratiques portant atteintes à leur intégrité physique, l’article 16 de la Constitution « condamne la torture, les sévices ou traitements inhumains, cruels, dégradants ou humiliants ».[1]
https://www.excision...ision/djibouti/
#5
Posté 11 avril 2022 - 09:55
ELMI_, le 11 avril 2022 - 04:47 , dit :
Et toi en tant que djiboutien...
que penses tu de l'excision??

Ce message a été modifié par thorgal - 11 avril 2022 - 09:56 .
Mais la terre est patiente"
#6
Posté 11 avril 2022 - 09:58
thorgal, le 12 avril 2022 - 08:55 , dit :
que penses tu de l'excision??

Je pense comme ta mère .Dis. Moi ta mère,elle en pense quoi?Elle dois avoir une idée normalement…
Peut tu demander ta mère son avis stp!!
thorgal, le 12 avril 2022 - 08:42 , dit :
le sujet de ce post, lui est d'actualité ! !

La clémence a été fait,elle est en sursis ça te va.
Les chiffres de l’excision (mars 2014)
En s’appuyant sur des chiffres gouvernementaux, environ 98% des femmes âgées de 8 ans et plus subiraient l’excision, l’infibulation ou bien les deux à Djibouti. Il n’existe pas de statistique portant sur le taux de prévalence en fonction de l’ethnie ni de la religion. La statistique moyenne de femmes excisées à Djbouti entre 15 et 49 ans présentée par l’UNICEF est de 93%, 3ème pays le plus touché dans l’enquête de l’UNICEF, après la Somalie et la Guinée-Conakry.
Une enquête réalisée par le Comité national de lutte contre les pratiques traditionnelles néfastes (CNPLTN) de Djibouti montre un taux inférieur : 82% des femmes interrogées (490 femmes entre 15 et 50 ans) ont subi des MGF.
Le rapport de l’UNICEF distingue deux groupes de femmes : celles entre 45 et 49 dont le taux de prévalence est de 95% et les filles âgées entre entre 15 et 19 ans dont le taux est de 90%. Notons ainsi que quel que soit l’âge, le pourcentage de filles ou femmes excisées à Djibouti reste très élevé. Les mesures législatives et gouvernementales, qui se sont accélérées depuis 2008 à Djibouti, auraient conduit à une diminution de 5% du taux de prévalence, de 98% à 93%.
Il semble que plus qu’une diminution notable des pratiques de MGF, serait constatée une évolution de pratique : la forme III de mutilation (infibulation) majoritairement pratiquée évoluerait vers la forme II.
L’environnement juridique
Le contexte legislatif
A Djibouti, l’excision est interdite depuis la révision du Code pénal, entrée en vigueur en avril 1995. L’article 333 du Code pénal interdit toutes les formes de violence : il prescrit que « la violence imposée par les mutilations génitales faites aux femmes est passible de cinq d’emprisonnement et d’une amende d’un million de francs Djiboutien » (environ 4000 Euros).
De plus, une loi a été votée en 2009 qui permet aux associations oeuvrant contre les MGF, de se porter partie civile à la place des victimes qui ne seraient pas en mesure de recourir à la justice.
La constitution
S’agissant de l’égalité femme/homme, la constitution djiboutienne du 15 septembre 1992 stipule dans son article 1 alinéa 2 que « l’Etat assure, à tous l’égalité devant la loi sans distinction de langue, d’origine, de race, de sexe et de religion ». L’article 10 ajoute que « tous les êtres humains sont égaux devant la loi ». Plus spécifiquement, concernant les droits constitutionnels des femmes, notamment contre les pratiques portant atteintes à leur intégrité physique, l’article 16 de la Constitution « condamne la torture, les sévices ou traitements inhumains, cruels, dégradants ou humiliants ».[1]
https://www.excision...ision/djibouti/
Ce message a été modifié par ELMI_ - 11 avril 2022 - 10:25 .
#7
Posté 11 avril 2022 - 11:48
"Procès de l'excision en France : une mère de famille condamnée"
thorgal, le 09 avril 2022 - 03:30 , dit :
L'article ici : https://information....-famille-451500
Pas la peine de t'exciter elmytho, reste sur le sujet du post!!

PS Elmytho laisse ma mère hors de se sujet elle ne pratique pas L'excision!!
La question était pour toi en tant que djiboutien....mais je vois que dés que l'on te pose des questions sur le sujet du post...
Comme d'habitude, tu prends tes jambes à ton cou !!

Mais la terre est patiente"
#8
Posté 12 avril 2022 - 12:17
thorgal, le 12 avril 2022 - 10:48 , dit :
"Procès de l'excision en France : une mère de famille condamnée"
Pas la peine de t'exciter elmytho, reste sur le sujet du post!!

PS Elmytho laisse ma mère hors de se sujet elle ne pratique pas L'excision!!
La question était pour toi en tant que djiboutien....mais je vois que dés que l'on te pose des questions sur le sujet du post...
Comme d'habitude, tu prends tes jambes à ton cou !!

A Djibouti, l’excision est interdite depuis la révision du Code pénal, entrée en vigueur en avril 1995. L’article 333 du Code pénal interdit toutes les formes de violence : il prescrit que « la violence imposée par les mutilations génitales faites aux femmes est passible de cinq d’emprisonnement et d’une amende d’un million de francs Djiboutien » (environ 4000 Euros).
Aux yeux d'Isabelle Gillette-Faye,
"Ce verdict est une excellente piqûre de rappel, assure la sociologue, d'autant que la communauté djiboutienne est relativement nombreuse dans la région du Mans, et que l'onde de choc du procès rappelera à chacun que la France, comme Djibouti, interdisent l'excision."
Isabelle Gillette-Faye, la mère des trois jeunes femmes excisées veut convaincre que l'infibulation qu'elle a elle-même subie dans son enfance (une excision totale ou quasi-totale, soit une mutilation génitale féminine de type 3) n'a pas eu de conséquences néfastes sur sa vie de femme : "Elle assure que sa sexualité est restée parfaite, que ses accouchements se sont très bien passés", rapporte la sociologue.
Au Mans, une mère de famille a été condamnée à cinq ans de réclusion avec sursis
IOG est intervenu en en personne.
Ce message a été modifié par ELMI_ - 12 avril 2022 - 12:25 .
#9
Posté 12 avril 2022 - 12:23
ELMI_, le 11 avril 2022 - 09:17 , dit :
Depuis 1995???
Alors pourquoi cette mère djiboutienne revient à Djibouti pour exciser ses filles ???

Mais la terre est patiente"
#10
Posté 12 avril 2022 - 12:26
thorgal, le 12 avril 2022 - 11:23 , dit :
Alors pourquoi cette mère djiboutienne revient à Djibouti pour exciser ses filles ???

ELMI_, le 12 avril 2022 - 11:17 , dit :
Aux yeux d'Isabelle Gillette-Faye,
"Ce verdict est une excellente piqûre de rappel, assure la sociologue, d'autant que la communauté djiboutienne est relativement nombreuse dans la région du Mans, et que l'onde de choc du procès rappelera à chacun que la France, comme Djibouti, interdisent l'excision."
Isabelle Gillette-Faye, la mère des trois jeunes femmes excisées veut convaincre que l'infibulation qu'elle a elle-même subie dans son enfance (une excision totale ou quasi-totale, soit une mutilation génitale féminine de type 3) n'a pas eu de conséquences néfastes sur sa vie de femme : "Elle assure que sa sexualité est restée parfaite, que ses accouchements se sont très bien passés", rapporte la sociologue.
Au Mans, une mère de famille a été condamnée à cinq ans de réclusion avec sursis
IOG est intervenu en en personne.
#12
Posté 12 avril 2022 - 12:35
thorgal, le 12 avril 2022 - 11:32 , dit :
continues de troller!!

A Djibouti, l’excision est interdite depuis la révision du Code pénal, entrée en vigueur en avril 1995. L’article 333 du Code pénal interdit toutes les formes de violence : il prescrit que « la violence imposée par les mutilations génitales faites aux femmes est passible de cinq d’emprisonnement et d’une amende d’un million de francs Djiboutien » (environ 4000 Euros).
#13
Posté 12 avril 2022 - 12:37
ELMI_, le 11 avril 2022 - 09:35 , dit :
du coup tu continues de troller...
un classique avec elmytho!!

Mais la terre est patiente"
#15
Posté 12 avril 2022 - 12:58
thorgal, le 09 avril 2022 - 03:30 , dit :
L'article ici : https://information....-famille-451500
Ci dessus, Le sujet non trollé par elmytho !!

Mais la terre est patiente"