Édito
Mers chers compatriotes, cette semaine, nous avons encore vu une nouvelle forme de répression : l’interdiction de se réunir et de célébrer un anniversaire.
La liberté de réunion ou droit de réunion est une liberté publique et politique généralement considérée comme fondamentale et en vertu de laquelle un groupe de personnes a la possibilité de se réunir temporairement en un même lieu, de façon pacifique et sans armes, dans toute finalité licite et conforme à la Loi.
Elle est mentionnée dans l'article 20 (« Toute personne a droit à la liberté de réunion et d'association pacifiques ») de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Si nos amis occidentaux, chantres de la démocratie, doutent encore de la nature dictatoriale du régime djiboutien, la répression policière et les arrestations arbitraires en masse les éclairent un peu plus chaque jour.
A Djibouti, la liberté de réunion n’existe pas!
La communauté internationale pourra-t-elle dire qu’elle ne savait pas?
Pourquoi ce silence?
Pourquoi cette non réaction?
Chers lecteurs retrouvez dans cette édition le portrait d’une jeune militante nommée Djouweria. Si la communauté internationale dit « OUI » à IOG, la jeunesse djiboutienne dit « Dégage IOG ».
Bonne lecture !
Ce message a été modifié par watson - 20 janvier 2014 - 01:56 .