Édito
Les semaines à venir sont cruciales pour le mouvement populaire en quête de démocratie et de liberté.
En effet, nous allons bientôt fêter le premier anniversaire du hold-up électoral du 23 février 2013.
Mais si cet anniversaire est attendu par le peuple, il est redouté par le régime djiboutien et en premier lieu par le dictateur IOG.
Durant une année, le régime a essayé d’étouffer la contestation populaire qui réclame les résultats des dernières élections :
· Emprisonnement des leaders politiques.
· Tortures et harcèlements des militants engagés.
· Assassinats ciblés et tentatives de meurtre.
· Privatisation des libertés fondamentales.
Quelle est la prochaine étape dans cette fuite en avant?
La dissolution de l’Assemblée Nationale Illégitime?
La dissolution des partis et des coalisions politiques?
Le retour au parti unique et aux couvre-feux coloniaux?
Quelle que soit la forme de la répression dictatoriale,
l’avènement d’un changement démocratique est inéducable et le peuple est prêt pour la lutte finale.
La lutte continue !