
En septembre 2011, le magazine New York avait publié une couverture assez audacieuse vu l'état du contentieux entre Barack Obama et Benyamin Netanyahou.
Obama: "le premier président juif".
Après le discours de Jerusalem, l'étiquette pourrait probablement s'appliquer.
Le président américain a montré qu'il comprenait "l'expérience juive" de l'intérieur Il a prononcé plusieurs expressions en hébreu. Il a rendu hommage à l’idée sioniste, aux prouesses scientifiques des Israéliens (« dix Prix Nobel »)...
Dans chacun des "grands discours" qu'il choisit de prononcer, entre une part de flatterie. Mais cette fois, c'était plus personnel. Il voulait réagir contre le mauvais procès qui lui a été fait, à Washington et en Israël de ne pas avoir de sympathie pour la cause israélienne, lui qui est entré en politique à Chicago, une ville où Juifs et Noirs se sont souvent rassemblés autour des mêmes valeurs progressistes.
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