Par ce poeme ou tu exposais ton nouvel acquis en poesie, le meme profanateur, cancer et fleau, sous divers pseudo vint le souiller de sa pollution habituelle. Par jalousie. Voir le +1 que tu recus pour ce billet lui fait mal.

Arreh, le 30 mars 2013 - 01:22 , dit :
Je suis absent des debats politiques sur Djibnet depuis assez longtemps maintenant,et je suis reste a l'ecart de debat politique pendant ces temps jusqu'a ce que recement je fais la connaissance d'un nouveau ami recement debarque du pays que sa vie a bouscule apres avoir rejoins le PRD de l'epoque de Elabeh. On sait qu'au pays rejoindre l'opposition vous expose a des represailles et des tracasseries en tout genre, perte d'emploi,harcelement des proches et ici je ne pourrais resume. Les causes principales de cet etat des choses est surement l'absence de droit administrative et l'absence d'une appareil etatique et des insttitutions neutres et independants. Au fur a mesure de discuter avec ce nouveau ami je me suis reconnecte a la vie politique et fidele a ma personalite j'ai essaye de suivre les debats et la campagne electorale et des resultats jusqu'a present,en me connnectant sur Djib24 Twitter. Djib24 twitter m'a permi d'echanger avec tous les opinions et j'ai commence a reagir en gardant une ligne neutre qui condamne les abus du systeme et les mensonges en exhortant le President a sauver le pays en engageant un vrai dialogue car l'interet nationale doit avoir la preeminence sur les interets ou ambitions personelles dans tous les camps opposition ou UMpiste.Mes observations m'ont amene a me prononcer sur la poesie qui est mon langage prefere pour exprimer mes feelings:
Ecarte toute illusion
Usurpation, deni et rancoeur,
Defunte fraternite et douceur;
Rejete civilite et bonne humeur,
Desormais insurection au demeur;
Plus d'un est perplexe,
Devant un tel complexe;
Oh tant de maladresse,
Devant nous se dresse;
Malmene les ames innocentes,
Sous la ferule insolente;
Tartufferie en religion,
Maquille en legion;
Desenchante de l'etre,
Ne cessant de paraitre;
Si siderante est la derision,
Ecarte est donc toute illusion;
Arreh