Quand La Bad Pointe La Malgouvernance Du Régime Djiboutien Et Ses Effe Édition LVD écrite du jeudi 8 septembre 2011
#1
Posté 10 septembre 2011 - 01:00
Ulcérée de voir les fonds qu'elle fournit et ceux émanant d'autres institutions financières détournés de leur destination, elle décide de tirer la sonnette d'alarme sur la situation désastreuse de la gouvernance publique et politique de Djibouti.
Dans son document de stratégie pays pour la période 2011-2015, document qu'a notamment examiné la Lettre de l'océan du 3 septembre 2011, la BAD pointe d'un doigt accusateur les faiblesses des capacités institutionnelles et des ressources humaines de Djibouti sous le règne d'Ismaël Omar Guelleh, facteurs responsables (entre autres choses) de «l'inefficacité de l'intervention de l'État dans la lutte contre la pauvreté, malgré des dépenses publiques conséquentes dans les secteurs sociaux».
Le système de suivi-évaluation des projets laisse à désirer, l'appareil statistique connaît de «fortes déficiences», ce qui entraîne des problèmes persistants dans la «communication des rapports d'audit et leur conformité avec les standards de la banque». Ce sont, souligne le document, les défaillances de la gouvernance publique qui sont la cause principale du «caractère massif et structurel de la pauvreté à Djibouti». La pauvreté, il faut le rappeler, touche de 75 à 80% de la population djiboutienne.
Liant à juste titre la mauvaise gouvernance publique à la mauvaise gouvernance politique, la BAD relève la «concentration du pouvoir exécutif» et «un problème d'indépendance du pouvoir judiciaire par rapport à l'exécutif». Sans parler de l'inféodation du législatif à l'exécutif. Cette concentration du pouvoir d'État entre les mains du chef de l'État qui est aussi chef du gouvernement, se traduit notamment par des «faiblesses dans la préparation, l'exécution et le contrôle budgétaires».
Ainsi, observe la BAD, de nombreux marchés publics sont passés chaque année selon des «procédures non concurrentielles», attribués à des entreprises proches du régime telles que Independent Construction Company (ICC) qui appartient au couple présidentiel. Ces marchés représentent 51% du total pour la seule année 2009, selon la banque.
On le voit, la Banque africaine de développement décrit avec ses mots ce que nous dénonçons sans complaisance depuis des années et des années.
#2
Posté 10 septembre 2011 - 08:58
Mahmoud, le 10 septembre 2011 - 01:00 , dit :
Ulcérée de voir les fonds qu'elle fournit et ceux émanant d'autres institutions financières détournés de leur destination, elle décide de tirer la sonnette d'alarme sur la situation désastreuse de la gouvernance publique et politique de Djibouti.
Dans son document de stratégie pays pour la période 2011-2015, document qu'a notamment examiné la Lettre de l'océan du 3 septembre 2011, la BAD pointe d'un doigt accusateur les faiblesses des capacités institutionnelles et des ressources humaines de Djibouti sous le règne d'Ismaël Omar Guelleh, facteurs responsables (entre autres choses) de «l'inefficacité de l'intervention de l'État dans la lutte contre la pauvreté, malgré des dépenses publiques conséquentes dans les secteurs sociaux».
Le système de suivi-évaluation des projets laisse à désirer, l'appareil statistique connaît de «fortes déficiences», ce qui entraîne des problèmes persistants dans la «communication des rapports d'audit et leur conformité avec les standards de la banque». Ce sont, souligne le document, les défaillances de la gouvernance publique qui sont la cause principale du «caractère massif et structurel de la pauvreté à Djibouti». La pauvreté, il faut le rappeler, touche de 75 à 80% de la population djiboutienne.
Liant à juste titre la mauvaise gouvernance publique à la mauvaise gouvernance politique, la BAD relève la «concentration du pouvoir exécutif» et «un problème d'indépendance du pouvoir judiciaire par rapport à l'exécutif». Sans parler de l'inféodation du législatif à l'exécutif. Cette concentration du pouvoir d'État entre les mains du chef de l'État qui est aussi chef du gouvernement, se traduit notamment par des «faiblesses dans la préparation, l'exécution et le contrôle budgétaires».
Ainsi, observe la BAD, de nombreux marchés publics sont passés chaque année selon des «procédures non concurrentielles», attribués à des entreprises proches du régime telles que Independent Construction Company (ICC) qui appartient au couple présidentiel. Ces marchés représentent 51% du total pour la seule année 2009, selon la banque.
On le voit, la Banque africaine de développement décrit avec ses mots ce que nous dénonçons sans complaisance depuis des années et des années.
Mr Boreh ,n'etes vous pas fatiguer de vous plaidre sans cesse!!!
ICC et wissam un jour,le gouvernement le jour suivant!!
Djibouti vous a ouvert ses portes,vous et votre famille et vous avez cracher dans l'assiette!!!
Il faut que vous sachiez que vous nous manquez pas du tous!!!
Profitez de votre retraite dore a Paris et surtout tournez la page!!


#3
Posté 11 septembre 2011 - 12:52
diplomat101, le 10 septembre 2011 - 08:58 , dit :
ICC et wissam un jour,le gouvernement le jour suivant!!
Djibouti vous a ouvert ses portes,vous et votre famille et vous avez cracher dans l'assiette!!!
Il faut que vous sachiez que vous nous manquez pas du tous!!!
Profitez de votre retraite dore a Paris et surtout tournez la page!!


Pourquoi veux tu changer de Sujet en me parlant de Borreh ???
Pourquoi n’argument tu pas le Rapport de la BAD sur Djibouti ?
Ce n’est pas en changeant de Sujet qu’on va oublier les problèmes auquel moi même et 80% des Djiboutiens doivent faire face chaque jour, thanks to IOG…. (Pauvreté, Injustice, tribalisme, chômage, sècheresse…)
#4
Posté 11 septembre 2011 - 12:56
Mahmoud, le 11 septembre 2011 - 12:52 , dit :
Pourquoi n’argument tu pas le Rapport de la BAD sur Djibouti ?
Ce n’est pas en changeant de Sujet qu’on va oublier les problèmes auquel moi même et 80% des Djiboutiens doivent faire face chaque jour, thanks to IOG…. (Pauvreté, Injustice, tribalisme, chômage, sècheresse…)
ton soutien sans faille a Boreh me laisse penser que ta critique envers IOG est sans fondement....
L'anti-iogisme n'est pas un programme pour decrebiliser l'etat...
Je te signale que la BAD finance toujours les differents projets de develloppement a djibouti pour couper court a tes alllegations....
#5
Posté 11 septembre 2011 - 01:13
diplomat101, le 11 septembre 2011 - 12:56 , dit :
L'anti-iogisme n'est pas un programme pour decrebiliser l'etat...
Je te signale que la BAD finance toujours les differents projets de develloppement a djibouti pour couper court a tes alllegations....
Waar le peuple veux manger IOG et sa Familles, ils s'en foute de Borreh, c'est IOG le President et c'est lui qui nous à mis dans cette merde.
Alors c'est lui et sa famille qui vont payer, meme ses enfants un par un vont payer.... jusqu'a ses petit enfants vont payer.
#6
Posté 11 septembre 2011 - 03:43
Mahmoud, le 11 septembre 2011 - 01:13 , dit :
Alors c'est lui et sa famille qui vont payer, meme ses enfants un par un vont payer.... jusqu'a ses petit enfants vont payer.
tu te trompes....
mais je te laisse dans ta petite bulle...
#7
Posté 11 septembre 2011 - 11:26
Citation
Sa dit tout...
#8
Posté 11 septembre 2011 - 03:43
diplomat101, le 10 septembre 2011 - 08:58 , dit :
ICC et wissam un jour,le gouvernement le jour suivant!!
Djibouti vous a ouvert ses portes,vous et votre famille et vous avez cracher dans l'assiette!!!
Il faut que vous sachiez que vous nous manquez pas du tous!!!
Profitez de votre retraite dore a Paris et surtout tournez la page!!


Ce monsieur est plus iogiste k iog lui-meme c vraiment pathétique mais d'1 otre coté je suis vraiment content de savoir k'1 compatriote respect les horraires de travail et plus encore effectue de heure sup j'éspere just k'il est bien payé


#9
Posté 11 septembre 2011 - 05:57
dayax, le 11 septembre 2011 - 03:43 , dit :


Je suis fier de me lever chaque matin et de suer pour gagner ma vie.....


#10
Posté 11 septembre 2011 - 09:29
diplomat101, le 11 septembre 2011 - 05:57 , dit :


Le système de suivi-évaluation des projets laisse à désirer, l'appareil statistique connaît de «fortes déficiences», ce qui entraîne des problèmes persistants dans la «communication des rapports d'audit et leur conformité avec les standards de la banque». Ce sont, souligne le document, les défaillances de la gouvernance publique qui sont la cause principale du «caractère massif et structurel de la pauvreté à Djibouti». La pauvreté, il faut le rappeler, touche de 75 à 80% de la population djiboutienne.
Liant à juste titre la mauvaise gouvernance publique à la mauvaise gouvernance politique, la BAD relève la «concentration du pouvoir exécutif» et «un problème d'indépendance du pouvoir judiciaire par rapport à l'exécutif». Sans parler de l'inféodation du législatif à l'exécutif. Cette concentration du pouvoir d'État entre les mains du chef de l'État qui est aussi chef du gouvernement, se traduit notamment par des «faiblesses dans la préparation, l'exécution et le contrôle budgétaires».
Ainsi, observe la BAD, de nombreux marchés publics sont passés chaque année selon des «procédures non concurrentielles», attribués à des entreprises proches du régime telles que Independent Construction Company (ICC) qui appartient au couple présidentiel. Ces marchés représentent 51% du total pour la seule année 2009, selon la banque.
On le voit, la Banque africaine de développement décrit avec ses mots ce que nous dénonçons sans complaisance depuis des années et des années.
Ce message a été modifié par Mahmoud - 11 septembre 2011 - 09:31 .
#11
Posté 11 septembre 2011 - 10:19
Mahmoud, le 11 septembre 2011 - 09:29 , dit :
Liant à juste titre la mauvaise gouvernance publique à la mauvaise gouvernance politique, la BAD relève la «concentration du pouvoir exécutif» et «un problème d'indépendance du pouvoir judiciaire par rapport à l'exécutif». Sans parler de l'inféodation du législatif à l'exécutif. Cette concentration du pouvoir d'État entre les mains du chef de l'État qui est aussi chef du gouvernement, se traduit notamment par des «faiblesses dans la préparation, l'exécution et le contrôle budgétaires».
Ainsi, observe la BAD, de nombreux marchés publics sont passés chaque année selon des «procédures non concurrentielles», attribués à des entreprises proches du régime telles que Independent Construction Company (ICC) qui appartient au couple présidentiel. Ces marchés représentent 51% du total pour la seule année 2009, selon la banque.
On le voit, la Banque africaine de développement décrit avec ses mots ce que nous dénonçons sans complaisance depuis des années et des années.
bla bla bla!!!