lawliateh, le 06 mars 2011 - 12:38 , dit :
Le peuple djiboutien dans sa quête de la liberté et la démocratie est appelé à défier toutes les formalités administratives sur lesquelles la dictature en place est tentée de s'appuyer pour prolonger son règne.
L’obligation de la déclaration préalable en vigueur dans la plupart des régimes démocratiques pour organiser une manifestation n’a aucun sens dans le contexte de la dictature djiboutienne qui viole au quotidien les droits élémentaires des individus.
Face à un régime de dénie de droit, le peuple djiboutien doit choisir une insurrection pacifique et permanente en faisant siennes les dispositions de l’article 35 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs »
Yam Yam a écrit " Wa madees adunyadu, dadkuna way matalayan". Au moins une fois tous le 10 ans le sang coulent à Djibouti, c'est presque une tradition parcqu'une bande nomades pouilleux soulèvent une armée de nigaux qui ne savent même situés le Nord sur une Carte au motif que tel ou tel clan est lesé dans le partage du pouvoir. Alors les nomades s'affrontent, s'entretuent et détruisent en une nuit ce l'on a mis 10 ans pour construire et que l'a même pas fini de payer.
Et pourkoi tous ca, afin d'enrichir une partie de son clan en pillant allégrement les caisses de cette Nation Djiboutienne qui tel une veille prostituée se comple à se faire baiser par le dernier nomade chassé par la sécheresse.
tel es la généralisation d'une mentalité de nomade à la recherche du butin, et puis une autre loi de la politique djiboutienne, veut le postulat de conservation des éléments de la classe politique. On palabre beaucoup, on fait semblant de s'opposer, on joue avec l'émotion des nomades et leurs fiertés d'australopithèque ....et puis on reconstitue la vieille équipe et on continue. Tant pis s'il y a eu des morts, on pisse de toute façon sur leur mémoire. Donc un bon conseil à la jeune generation, il faut jamais etre les martyrs d'une politique à Djibouti ...puisque tradition nomade oblige "un mort vaut moins que ses chaussures". Si vous êtes un soufi comme arreh, c'est une autre vision qui se défend!