Arreh, le 29 July 2010 - 06:23 PM, dit :
Salaam Gargaro et les autres freres et soeurs
Been fakatay, runi ma gaadho, ou un mensonge qui s'est enfui la verite aura des difficultes pour le rattraper, laakiin beeni lug la qatay leedahay, mais le mensonge pourrait etre attraper par la jambe.
Ce proverbe somali resume en gros la posture de Gagaro, vos docteurs en lettre peuvent mentir mais ces mensonges n'iront nulle part tant que des faits verifiables jusqu'a nos jours sont encore existant.
Les afars pouvaient appele ce qu'ils veulent Gaziira et ecrire ce qu'ils veulent avec les fransiis cela ne changera rien de la realite, notre culture est celle de l'oralite et celle ci temoigne largement de fait observable dans la geographie physique et humaine, ceci dit je te renvois a mon post d'hier matin.
Je rajouterais d'autres precisions que m'a transmis mon grand-pere avant sa mort alors que j'etais encore un bambin. Les yemenites dont tu parles etaient quelques pecheurs installes a Boulaos(appelation somali, de boul= hutte, aos=aws= herbe, ces habitations ou vivaient ces pecheurs etaient des huttes faite de tresses d'herbes seches, et ces boul-aws se trouvaient pas loin de la zone de Djibouti ou se trouve le College Boulaos. Alors comment les afars appellent les huttes, Boul? je ne crois pas ils appellent plutot daboyta, alors encore une fois l'heritage somali de Djibouti est confirme et verifiable. Et mon grand-pere m'avait ajoute que les campements issas pratiquaient un troque avec les yemenites pecheurs avant l'arrivee des fransiis, ce troque consiste du lait de dromadaire contre des dattes que les chameliers issas appreciaient,il est legendaire que les nomades somalis sont friands des dattes, des proverbes en temoignent de la part des Ogadeens "Alahayooy timiri macaana, oh mon Seigneur que les dattes sont si bonnes".
Autres precisions, il est interessant de s'interroger le bien fonde de la politique stalinienne d'Ali Aref qui a implante par force les afars a Arhiba, si la zone etait etait afar une telle politique serait inutile. En verite comme nous savons tres bien que les afars ont une notion tres etroite de la geographie, la zone en question (de Okaar a Djibouti-ville, et un peu du nord du Mont Ougoul a Loyada) serait la propriete partage entre les Sultanas de Tadjourah et celui des Debnes de Dikhill, donc la question de la presence des issas seraient anodine. Or il est verifiable aucunement cette zone ne fut la propriete d'un Sultana afar, les noms afars glisses par ci et par la n'ont aucune portee reelle. Juste a peine 5km de Djibouti se trouve Tourkii Faraah Had, un peu loin tourtii Ina dirir sur la route nationale Arta. Ensuite Doudoub Alaale, un nom afar? il est vraiment navrant qu'en 2010 des individus en mal de sensations vehiculent des fantasmes comme Gargaro.
Shabeeley, environs 10 km a partir de Balbala, et sur la route avant de parvenir a Shabeelay nous avons Gabi daatay, qui est une oued ou s'abreuvaient les dromadaires et les chevres des Dhabac Bir Cas (clan issa) qui peuplent cette region. Durant mon enfance je me rappelle encore des contingents des cano lay(vendeuse de lait) qui venaient vendre le lait de dromadaire et de chevre qui venaient des zones peripheriques de Djibouti-ville, ces cano lay venaient essentiellement de Doraleh, de Douda, de Nagadh, et un mini-bus special appeles baabuur canalay etaient leur moyen de transport. Il ya un moyen de verifier chez les somalis qui peuplent une zone, il suffit de chercher l'appartenance ethnique des cano diiq ou cano leey, les femmes qui emmenent vendre le lait dans la principale ville de la region. Et comme le lait est une commodite perissable tres vite, avant l'arrive des moyens motorises les vendeuses de lait venaient essentiellement a pied a partir des zones rurales peripheriques. Par exemple une querelle s'est produit entre deux clans issacks au sujet de la ville de Berbera, en faite la region est une region Issa Moussa et recement des habar Yonis se sont installes dans la ville de Berbera,et cette question etait une des causes du mini-guerre civile qui s'est passe entre les issacks. Les ano diiq a Berbera sont Issa Moussa, alors que les premiers campements habar Yonis se trouve dans dans la region pas loin de Burco.
La meme chose comme disait Warsameh, Saylac etait cosmopolite mais les alentours etaient essentiellement somali, plus precisement les puits de sel appartenant seulement a des somalis et les ano diiq etaient somalis.
Ce raisonement est largement valable pour le cas de Djibouti alors a bon entendeur.
Mon cher ami gargaro amene tes preuves plutot que les ecrits des fantaisistes fransiis qui n'ont redige que ce que vos politiciens les ont racontes.
salamoulaahi alayka
Been fakatay, runi ma gaadho, ou un mensonge qui s'est enfui la verite aura des difficultes pour le rattraper, laakiin beeni lug la qatay leedahay, mais le mensonge pourrait etre attraper par la jambe.
Ce proverbe somali resume en gros la posture de Gagaro, vos docteurs en lettre peuvent mentir mais ces mensonges n'iront nulle part tant que des faits verifiables jusqu'a nos jours sont encore existant.
Les afars pouvaient appele ce qu'ils veulent Gaziira et ecrire ce qu'ils veulent avec les fransiis cela ne changera rien de la realite, notre culture est celle de l'oralite et celle ci temoigne largement de fait observable dans la geographie physique et humaine, ceci dit je te renvois a mon post d'hier matin.
Je rajouterais d'autres precisions que m'a transmis mon grand-pere avant sa mort alors que j'etais encore un bambin. Les yemenites dont tu parles etaient quelques pecheurs installes a Boulaos(appelation somali, de boul= hutte, aos=aws= herbe, ces habitations ou vivaient ces pecheurs etaient des huttes faite de tresses d'herbes seches, et ces boul-aws se trouvaient pas loin de la zone de Djibouti ou se trouve le College Boulaos. Alors comment les afars appellent les huttes, Boul? je ne crois pas ils appellent plutot daboyta, alors encore une fois l'heritage somali de Djibouti est confirme et verifiable. Et mon grand-pere m'avait ajoute que les campements issas pratiquaient un troque avec les yemenites pecheurs avant l'arrivee des fransiis, ce troque consiste du lait de dromadaire contre des dattes que les chameliers issas appreciaient,il est legendaire que les nomades somalis sont friands des dattes, des proverbes en temoignent de la part des Ogadeens "Alahayooy timiri macaana, oh mon Seigneur que les dattes sont si bonnes".
Autres precisions, il est interessant de s'interroger le bien fonde de la politique stalinienne d'Ali Aref qui a implante par force les afars a Arhiba, si la zone etait etait afar une telle politique serait inutile. En verite comme nous savons tres bien que les afars ont une notion tres etroite de la geographie, la zone en question (de Okaar a Djibouti-ville, et un peu du nord du Mont Ougoul a Loyada) serait la propriete partage entre les Sultanas de Tadjourah et celui des Debnes de Dikhill, donc la question de la presence des issas seraient anodine. Or il est verifiable aucunement cette zone ne fut la propriete d'un Sultana afar, les noms afars glisses par ci et par la n'ont aucune portee reelle. Juste a peine 5km de Djibouti se trouve Tourkii Faraah Had, un peu loin tourtii Ina dirir sur la route nationale Arta. Ensuite Doudoub Alaale, un nom afar? il est vraiment navrant qu'en 2010 des individus en mal de sensations vehiculent des fantasmes comme Gargaro.
Shabeeley, environs 10 km a partir de Balbala, et sur la route avant de parvenir a Shabeelay nous avons Gabi daatay, qui est une oued ou s'abreuvaient les dromadaires et les chevres des Dhabac Bir Cas (clan issa) qui peuplent cette region. Durant mon enfance je me rappelle encore des contingents des cano lay(vendeuse de lait) qui venaient vendre le lait de dromadaire et de chevre qui venaient des zones peripheriques de Djibouti-ville, ces cano lay venaient essentiellement de Doraleh, de Douda, de Nagadh, et un mini-bus special appeles baabuur canalay etaient leur moyen de transport. Il ya un moyen de verifier chez les somalis qui peuplent une zone, il suffit de chercher l'appartenance ethnique des cano diiq ou cano leey, les femmes qui emmenent vendre le lait dans la principale ville de la region. Et comme le lait est une commodite perissable tres vite, avant l'arrive des moyens motorises les vendeuses de lait venaient essentiellement a pied a partir des zones rurales peripheriques. Par exemple une querelle s'est produit entre deux clans issacks au sujet de la ville de Berbera, en faite la region est une region Issa Moussa et recement des habar Yonis se sont installes dans la ville de Berbera,et cette question etait une des causes du mini-guerre civile qui s'est passe entre les issacks. Les ano diiq a Berbera sont Issa Moussa, alors que les premiers campements habar Yonis se trouve dans dans la region pas loin de Burco.
La meme chose comme disait Warsameh, Saylac etait cosmopolite mais les alentours etaient essentiellement somali, plus precisement les puits de sel appartenant seulement a des somalis et les ano diiq etaient somalis.
Ce raisonement est largement valable pour le cas de Djibouti alors a bon entendeur.
Mon cher ami gargaro amene tes preuves plutot que les ecrits des fantaisistes fransiis qui n'ont redige que ce que vos politiciens les ont racontes.
salamoulaahi alayka
Face à une telle mauvaise foi couplée avec un manque de rigueur intellectuel accablant, je ne peux rester que pantois.
A vous de juger. Arreh essaie de noyer le poisson avec ses connaissances locales.
Si je voulais, je peux moi même jouer à ce petit jeu. En quoi citer des noms des villes ou des régions, tracer des itinéraires par çi par là renforce-t-il l'idée que Djibouti soit d'origine afare ou somalie ?
On te demande de nous apporter des preuves, des sources, des écrits historiques. Et retour, Arreh nous dit que notre société est de tradition orale. Mais, alors qu'est-ce que c'est que cet argument bidon ?
Dis simplement que tu n'as rien à te mettre sous les dents parce que c'est le cas.
Quand on a aucun argument et qu'on ne peut aller contre l'évidence la seule chose qui vous reste c'est de nier en bloc la réalité et tous ce que les autres vous disent.
Tu ne peux pas te contenter de dire que vos sources ne sont pas sûres ou erronées ou peu fiables et de l'autre côté ne pas défendre ton opinion, qui peut être légitime, par des arguments solides avec l'appui des sources sûres et vérifiables.
Sinon, tout ce qui que tu racontes c'est du vent, de l'air que tu nous soumets et souffre le mensonge, la mauvaise foi, voire même de la malhonnêteté.
Un peu comme son oncle IOG qui quand on lui dit qu'il n'y a pas de liberté d'opinion, de la presse, des droits de l'homme il te répond en bloc que Djibouti est une démocratie. Seuls ceux qui sont acquis à sa cause feignent de ne pas s'en rendre compte. De la même manière, Saxarla et toute la bande feignent d'ignorer ou ignorent-ils vraiment la signification réelle des noms de ces localités.
En tout cas, vos mauvaises foi sont révélées devant tout le monde. Et comme l'a dit Gargaro l'ethymologie du mot Djibouti ne doit souffrier aucune polémique.
Nagaale ...
Ce message a été modifié par Mirgan - 29 juillet 2010 - 10:02 .