Arreh, le 27 July 2010 - 03:06 PM, dit :
Mirganoow
Il semble que tu appartiens a ceux qui ont bien ingurgite les propos de la mouvance des diplomes en lettre de descendance afar qui passent leur temps dans les cafes de Paris en sirotant du cafe a longueur de journees.Ces derniers ne connaissant rien de la rigeur de la philosophie de l'historiographie car etant essentiellement diplome en lettres modernes, ont mis a la dispositions leur talent de lettres a la tentative afar de reecrire l'histoire de notre region.
Je n'rais pas entrer dans des details mais je vais apporter quelques refutations, d'abord le Docteur Ali Moussa Iyeh n'a fait que publier les resultats de ses recherches, en se basant sur les ecrits publie auparvant sur ce sujet, comme le futhuhaaul habasha(les conquetes d'Abyssinie) de Shihaab Al-diin, le seul ecrit concernant cet epoque. Donc Iyeh est loin de reecrire les fantasmes tribales issas contrairement a vos "intellectuels" en lettres modernes qui privilegient la narration aux aromes tribales.
Concernant ta tentative d'afariser Djibouti, permettez moi de vous rappeler qu'a Doraleh bien avant la venue de l'homme blanc, les dromadaires appartenant aux issas etaient present, et ce temoignage est toujours visibles jusqu'a Nagadh en passant par Douda. L'actuel place Harbi etait un puit d'ou venait s'abreuver les troupaux de dromadaire. Si tes tentatives d'afariser Djibouti etait vrais, pourquoi les francais ont eu besoin de signer un traite avec les issas dans le sud du pays, parmi les noms de ces sages issas le nom de mon propre Grand-pere figure. La presence des afars dans cette partie etait une sorte d'implantation force par Ali Aref un peu comme Staline utilisait ces strategies couples de deportation dont Guestir est une illustration qui restera grave dans notre memoire.
J'en conclurais que tant que vous serez dans cet etat d'esprit et imbibe de ces bourrages de crane d'une image suranne de la realite formente par les franges les plus reactionnaires de vos politiciens(Ali coubba en tete) plus de confiance entre nous sera possible.Ces fantasmes constituent un danger reel pour la patrie et pour l'entente
Bonjour Arreh,
Il me semble que tu as été élevé au lait tribal distribué sur dans ce forum même par un certain Cala lorqu'ils parlent des intellectuels djiboutiens d'origine afare des diplômés es lettres. Mais, en quoi le fait d'être diplômé es lettre serait devenu une tare ? Un docteur es lettres n'a t-il pas son mot à dire dans une démoratie ?
Combien des littéraires sont-ils invités au débat politique dans les émissions politiques en France par exemple ?
Qu'est-ce qu'il vous faut ? Vous n'arrêtez pas de vomir vos invectives nauséabondes sur le Docteur Coubba qui lui est bien historien et non littéraire ?
Faut-il être juriste alors ou encore mathématicien. Cet argument fallacieux et enfantin comme quoi seuls les politiques (à quel titre ?) même incompétents et à la limite analphabètes comme les sont nos ministres et président de la République sont les seuls habilités à parler de la chose publique est en soi inapproprié, faux, voire même de mauvaise foi de la part de ceux qui défendent l'indéfendable.
C'est ça être musulman à la sauce du mont Arreh : fermer l'œil sur tout ce que ma tribu a fait, fait, fera dans le Fusuuq en lui cherchant des alibi comme par exemple lorsqu'un des siens Moussa Iyye va sciemment falsifier l'histoire de Djibouti, une histoire construite sur mesure et qui brosse l'orgueil des Issas dans le sens du poil.
Moussa Iyye c'est un escroc de l'histoire. Mais, l'Histoire ne lui pardonnera pas ces inventions infantiles.
A propos de l'origine du nom Djibouti tu viens de me tendre une belle perche en parlant de
Doraleh. Que signifie Doraleh en Somalie ?

Rien, Nada, Walu, Foyya, Ibir etc. etc. Doraleh en Afar se dit DORALE, qui veut dire l'endroit aux petites mares. DORA = Mare, LE = il a, comme en Somali = LE (uu leeyahay).
Sans t'en rendre compte tu viens de m'offrir sur un plateau la réponse à toutes questions.
et pour ce qui est du traité signé entre la France et les Okals Issas je te renvoie à ma réponse à Célio.
Enfin, pour la confiance bonjour. C'est l'hôpital qui se moque de la charité ou selon un dicton bien populaire un voleur t'accuse de voleur avant même que tu l'accuses de voleur.
A la bonheur. Et cette fois-ci trouves-moi quelque chose qui tient la route. Je ne suis plus un enfant pour me conter une histoire des fées et des ogres semant la terreur à Djibouti.
A tantôt.