Qalin Nour, le 02 April 2010 - 01:24 PM, dit :
je suis pas ok, tu pense que ce @!#$ing Boreh or IOG or Aden Robleh ont fait l'école.Pourqoi for exempl un autre qui n'es pas Issa or Afar ne sera pas president. Potician pas besoin de faire université.
Pour ton petit info, il faut surtout pas comparer l'incomparable, tu peux être pour ou contre Aden Robleh, mais un universitaire.
Il a fait ses études à bordeaux.
Par contre, les deux autres sosos n'ont pas fait des études universitaires.
Je ne pense pas qu'il faut faire un doctorat même si çà aiderait pas mal pour être un politicien, mais il faut avoir au moins un bac +3 ou +5, pour avoir un certain esprit d'analyse et de compréhension de la société dont on veut faire progresser.
Je pense que l'époque où les politiciens signaient avec leur pouce est révolu, même si avec la biométrie ces pratiques reviennent!!!

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Je pense aussi pour comprendre le monde qui nous entoure et faire évoluer notre société, le commandant en chef doit avoir un certain esprit ouvert qui n'est pas facile à développer lorsqu'on est cloitré chez soi. Donc, à mon avis, çà doit être un homme ou femme qui a vécu(en faisant ses études) ou bcp voyager dans le cadre de son travail ou autre à l'étranger. Il faut qu'il ou elle ait vécu à l'extérieur du pays et côtoyé d'autres peuples et d'autres cultures.
Comme je suis partisan que nos jeunes diplômés fassent une ou deux ans d'expérience professionnels à l'étranger après leurs études, je suis pour aussi que le président fasse ses armes à l'extérieur du pays car c'est facile de voir des choses lorsqu'on n'est pas plongé dans la routine quotidienne du tribalisme.
En fait, il y a une amie qui m'a dit un jour cette phrase de bon sens: "les diplômes que les jeunes djiboutiens(nes) obtiennent dans les universités ou écoles étrangères sont comme le code du permis, si tu n'as pas le pratique çà ne sert à rien". Je suis entièrement d'accord avec elle: imaginons quelqu'un qui obtient son code de permis et essaies de rouler avec!! J'imagine le dégât. On a l'impression qu'on sait faire des choses, mais la réalité est toute autre. Le deuxième point négative pour ces jeunes diplômés, leur apprentissage du pratique se fait à djibouti!! dont l'héritage culturel est encore imprégné des méthodes du colonisateur.
Je prends pour preuve l'apport capital des jeunes qui ont vécu au canada sur la manière d'entreprendre.