[Zieg Heil]

Quand on veut que les gens vous écoutent, on n'a pas besoin de leur tapper sur l'épaule. Il faut y aller à coup de marteau!
Djibouti, source de l'humanité et mère incontestée de tous les sans-abris d'ailleurs, est plus que jamais l'abri d'une société semi-morte, je veux dire, divisée.Le peuple est en proie à des problèmes sans solutions,la pureté du peuple djiboutien s'est envolée d'un seul coup, dès lors que Djiboutiennes et Djiboutiens ont perdu le goût de citoyenneté. Voilà que tout a viré à l'envers. Les Djiboutiens se retrouvent pour une fois sur un stade d'observation à base des tribus où chacun est perçu comme un être vivant etant fortement fièr de ce qu'il est, c'est à dire son ethnie!
Pire encore, l'on se plaint des conséquences.
Alors, voilà une question qui se pose inevitablement: Comment pourrait on sortir de cet "océan de mousse" qu'est l'observation mesquine basée sur le communautarisme?
Parlons vraie sérieux et ne blaguons pas sur les sujets sensibles celui-ci.
A vous, mesdames et messieurs.

[Dona del fuego]

Zieg Heil, le 08 September 2009 - 09:42 AM, dit :

Quand on veut que les gens vous écoutent, on n'a pas besoin de leur tapper sur l'épaule. Il faut y aller à coup de marteau!
Djibouti, source de l'humanité et mère incontestée de tous les sans-abris d'ailleurs, est plus que jamais l'abri d'une société semi-morte, je veux dire, divisée.Le peuple est en proie à des problèmes sans solutions,la pureté du peuple djiboutien s'est envolée d'un seul coup, dès lors que Djiboutiennes et Djiboutiens ont perdu le goût de citoyenneté. Voilà que tout a viré à l'envers. Les Djiboutiens se retrouvent pour une fois sur un stade d'observation à base des tribus où chacun est perçu comme un être vivant etant fortement fièr de ce qu'il est, c'est à dire son ethnie!
Pire encore, l'on se plaint des conséquences.
Alors, voilà une question qui se pose inevitablement: Comment pourrait on sortir de cet "océan de mousse" qu'est l'observation mesquine basée sur le communautarisme?
Parlons vraie sérieux et ne blaguons pas sur les sujets sensibles celui-ci.
A vous, mesdames et messieurs.

Très bonne question, enfin digne du problème. Voici mon grin de sel, je propose une démarche en trois étapes:

1- Introspection-
2- Délimitation de ce qui prime pour moi dans ce contexte
3- Elargissement ou fusion de ce qui prime à la nation.

Il est importer de se poser la question de -Ou je me situe dans la problématique?
Suis-je encore tiraillé entre mes appartenances multiples ou ai-je trouvé un équilibre qui me permet de prendre de la distance?
Comment le savoir ? Observer votre comportement ou réaction (impulsivité, colère non contrôlée, émotions ou calme et réserve) lorsqu’on vous attaque sur l’une de vos appartenances ?

Si vous êtes dans la seconde configuration, vous êtes déjà bien partie pour être les piliers de la réforme des mentalités.

Si vous êtes dans la première, les deux questions suivantes s’imposent.
Est-ce la tribu qui prime aveuglement ( le reconnaitre est déjà un pas vers la guérison) ou est ce sans cesse rattraper par une autre de vos appartenances pour la nuancer, cad l’islam, ou la nation ?
La majorité de personnes sensées dans un axe nord sud feront un aller retour sans fin entre clan et religion selon les stimuli externes. C’est pas pour rien que les sociologues mettent ces deux piliers comme étant les fondements de la somalinité .
Mais selon la personnalité on est enclin à pencher vers l’un ou l’autre, à en juger par ce qu’on lis souvent ici la « fierté » qu’on a d’être d’un clan a tendance à faire oublier l’islam cad a reconnaitre à l’autre ce qu’on a , la fierté d’être ce qu’il est. D’ailleurs on l’interprète à tord comme étant du ‘tribalisme’ mot bateau pour exprimer l’échec de la nation en Afrique et à Djibouti en particulier.
Donc on peut dire que la plupart de nos concitoyens aujourd’hui penche du coté du clan.

Mais il y a un ‘mais’, ils ignorent ce qu’est le clan ou disons qu’ils usent d’un vision hybride, racialisée ,politisée et radicalisée du clan qui n’est pas celle de nos ancêtres.
Il faut savoir que cette vision découle entre autre de l’introduction de l’Etat tel que conçu en occident dans une population nomade ou le seul pouvoir reconnu était celui de symbolique du droit d’ainesse (curaad). Et ou le ‘qoolo’ marquait surtout un espace d’habitation, d’établissement (qool) et qui prend son sens quand on voit comment des clans étaient intégrés par d’autres après des défaites.
Quoi qu’il en soit, si c’est le facteur dominant, voici ma suggestion :

L’étudier dans son sens originel (l’ignorance est notre plus grand mal) et l’étendre à la nation. Cad, si ton instinct te pousse à écouter ton ‘cousin‘ avant de le juger ou de l’accabler travailles sur toi pour avoir le mm comportement envers tout djiboutien quelque soit son ethnie. Impose toi cela comme tu t’imposes de pas manger pendant un mois pr satisfaire ton Dieu, Dieu aime les justes et maudit celui qui demande l’équilibre quand c’est pour lui et fausse la balance pour autrui (coran).
En conclusion, ma proposition est de subsumer le clan sous la voie de l’Ordre , l’islam pour construire un pilier unique et commun à la nation Djiboutienne.

Un avis comme un autre,

[geniushornafrica]

Zieg Heil, le 08 September 2009 - 10:42 AM, dit :

Quand on veut que les gens vous écoutent, on n'a pas besoin de leur tapper sur l'épaule. Il faut y aller à coup de marteau!
Djibouti, source de l'humanité et mère incontestée de tous les sans-abris d'ailleurs, est plus que jamais l'abri d'une société semi-morte, je veux dire, divisée.Le peuple est en proie à des problèmes sans solutions,la pureté du peuple djiboutien s'est envolée d'un seul coup, dès lors que Djiboutiennes et Djiboutiens ont perdu le goût de citoyenneté. Voilà que tout a viré à l'envers. Les Djiboutiens se retrouvent pour une fois sur un stade d'observation à base des tribus où chacun est perçu comme un être vivant etant fortement fièr de ce qu'il est, c'est à dire son ethnie!
Pire encore, l'on se plaint des conséquences.
Alors, voilà une question qui se pose inevitablement: Comment pourrait on sortir de cet "océan de mousse" qu'est l'observation mesquine basée sur le communautarisme?
Parlons vraie sérieux et ne blaguons pas sur les sujets sensibles celui-ci.
A vous, mesdames et messieurs.

Et si le fils "Bongo", ALI réussissait cela chez lui?
On aura juste à recopier ou bien?
Il parait qu'il a un fils qui s'appelle ISMAEL......
;););)

Non plus sérieux, c'est très plaisant je trouve moi..
La roue tourne et j'attends le mien....
C'est comme la terre autour du soleil
On ne reste jamais au même endroit, on y reviens...
J'adore ce jeu et pourvu que ça continue éternellement...

[Zieg Heil]

geniushornafrica, le 08 septembre 2009 - 02:50 , dit :

Et si le fils "Bongo", ALI réussissait cela chez lui?
On aura juste à recopier ou bien?
Il parait qu'il a un fils qui s'appelle ISMAEL......


Non plus sérieux, c'est très plaisant je trouve moi..
La roue tourne et j'attends le mien....
C'est comme la terre autour du soleil
On ne reste jamais au même endroit, on y reviens...
J'adore ce jeu et pourvu que ça continue éternellement...

Non mais qu'est ce que tu chante toi?
On parle ici du sérieux et tu joue au "qui-parle-pour-ne-rien-dire"!
Donne ton opinion, si t'en as une! Sinon, laisse la place aux sociologues et ne fait plus rien qu'à
lire ce qu'ils écrivent!

[DIVAD]

Zieg Heil, le 08 septembre 2009 - 10:42 , dit :

Quand on veut que les gens vous écoutent, on n'a pas besoin de leur tapper sur l'épaule. Il faut y aller à coup de marteau!
Djibouti, source de l'humanité et mère incontestée de tous les sans-abris d'ailleurs, est plus que jamais l'abri d'une société semi-morte, je veux dire, divisée.Le peuple est en proie à des problèmes sans solutions,la pureté du peuple djiboutien s'est envolée d'un seul coup, dès lors que Djiboutiennes et Djiboutiens ont perdu le goût de citoyenneté. Voilà que tout a viré à l'envers. Les Djiboutiens se retrouvent pour une fois sur un stade d'observation à base des tribus où chacun est perçu comme un être vivant etant fortement fièr de ce qu'il est, c'est à dire son ethnie!
Pire encore, l'on se plaint des conséquences.
Alors, voilà une question qui se pose inevitablement: Comment pourrait on sortir de cet "océan de mousse" qu'est l'observation mesquine basée sur le communautarisme?
Parlons vraie sérieux et ne blaguons pas sur les sujets sensibles celui-ci.
A vous, mesdames et messieurs.

Malheureuse votre constat en dit long sur la metamorphose k'a subi notre societé en peu de temps nous sommes passé d'une societé solidaire et citoyenne en societé gangréné par le tribalisme et autre maux