BRÉVE BIOGRAPHIE
ALI DAHAN Ph.D.
Président des Partisans de la Paix dans la Justice pour tous
les Djiboutiens (PPJD)
Ex- Diplomate en Irak, en Somalie et aux États-Unis d’Amérique
Portable : (418) 262-2504 Téléphone et Télécopieur : (418) 658-9244
Courriel principal : aldahan@oricom.ca
PARTISAN DE LA PAIX DANS LA JUSTICE POUR TOUS
DEPUIS PLUS DE QUATRE DÉCENNIES AU SERVICE
DES DROITS HUMAINS
« Un homme meurt lorsqu’il cesse de se battre pour la vérité et la justice ».
Révérend Martin Luther King
J’ai toujours eu comme idéal de rétablir la justice sociale et la paix et je suis en
faveur de l’édification d’une société où régneraient la liberté et l’égalité pour
tous les citoyens et je crois aux valeurs suivantes: DÉMOCRATIE, TOLÉ-
RANCE ET RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT comme condition sine qua
non du développement et du bien-être.
Depuis ma jeunesse, je milite pour la paix dans la justice pour tous. Je suis
par conséquent convaincu de l'importance que pourrait avoir pour l'huma-
nité une application rigoureuse de la Déclaration Universelle des Droits de
l'Homme de l'O.N.U. en date du 10 décembre 1948.
En effet, la dite déclaration était et se veut encore une structure de base
pour plusieurs Chartes des droits et libertés de la personne de par le mon-
de comme par exemple la Charte des droits et libertés de la personne du
Québec en date du 27 juin 1975 et celle du Canada en date du 17 avril 1982.
Et cela constitue une raison de plus pour continuer à militer contre toutes
formes de discriminations, d’injustices sociales et pour l'autodétermination
des peuples et surtout les autochtones.
C'est ainsi que j'ai été appelé à collaborer avec plusieurs intervenants et
organis-mes oeuvrant dans le domaine des Droits Humains tant au niveau
local, régional, qu'international : Secrétariat international d'Amnistie Interna-
tionale (A.I.); Mouvement International des Juristes Catholiques pour les
Droits de l'Homme (M.I.J.C.D.H.); Association Internationale d'Échanges
Scientifiques sur la Violence Humaine (ASEVICO) dont le président de ces
deux derniers organismes n'était nul autre que l'infatigable artisan du com-
bat pour la Paix et les Droits Humains, Louis-Edmond PETTITI, ex-bâtonnier
du barreau de Paris et ex-juge à la Cour Européenne des Droits de l'Homme.
Après ma démission de mon poste de Diplomate de Djibouti aux Etats-
Unis d’Amériques, j'ai de plus œuvré en 1993 avec des responsables du
Département des Affaires humanitaires de l'O.N.U.et de l'UNICEF à New-York,
des Représentants permanents des pays membres du Conseil de Sécurité
aux Nations-Unies et des hauts fonctionnaires des pays du groupe des 7
(actuellement 8 ), etc.
En outre, je n'ai pas cessé de participer à plusieurs rencontres régiona-
les, nationales et internationales sur les Droits Humains: Conférences sur
le CESSEZ-LE -FEU HUMANITAIRE : ÉDIFICATION DE LA PAIX POUR LES
ENFANTS à Ottawa; sur la 50ème anniversaire de la Déclaration Universelle
des Droits de l'Homme de l'O.N.U. À Montréal; IX ème Festival Mondial de la
Jeunesse et des Étudiants à Sofia; Congrès Mondial des Étudiants à Bratis-
lava; Conférences internationales sur la décolonisation de l'Afrique australe
à Helsinki; Conférences sur la Corne de l'Afrique à Washington, D.C. (Uni-
versité George Washington) et à New-York (City University of New-York-
CUNY); Congrès mondial sur la Violence et la Co-existence humaine à Mont-
réal, CongrCongrès mondial pour la Paix à Berlin-Est; Membre de la déléga-
tion pour la Réconciliation et la Paix à Djibouti; Consultation annuelle entre le
Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (M.A.É.C.I.)
et les Organisations non-gouvernementales (ONG) en vue de la prépara-
tion des séances de la Commission des Droits de l'Homme des Nations
Unies ; Forum de Québec sur les relations internationales du Canada
- Droits humains - etc.
IMPLICATIONS SOCIALES
Quant à mes implications sociales, elles sont nombreuses et cosmopolites:
lMembre associé du Centre québécois des Relations internationales et
de l’Institut canadien des Affaires internationales (I.C.A.I.) puis membre
correspondant de l'Institut Québécois des Hautes Études Internationales
(I.Q.H.É.I.); Membre du Comité Psychotrope à la Haute-Ville de Québec;
Membre des Comités de parents des Écoles J.-F. Perreault et Anne-Hébert:
membre du Conseil d'orientation et d'harmonie à l'École Anne-Hébert;
Membre de l'Association des parents du CEGEP François-Xavier Garneau,
puis délégué du Conseil d'administration auprès de la Fédération des Asso-
ciations de Parents (F.A.P.) des CEGEPS du Québec inc.; Élu au Conseil
d’administration de la Fondation du dit CEGEP; Membre du Conseil d'admi-
nistration de la Ligue des Droits et Libertés (Section Québec) ; de l'Associa-
tion des Fonction-naires issus des Communautés culturelles (A.F.I.C.C.) ;
2e puis 1e Vice-Président de la Maison internationale de Québec (MIQ);
Élu par la population du quartier de Montcalm au Conseil d'administration
du 1er Conseil de Quartier de Montcalm; Candidat indépendant pour le poste
de Conseiller municipal au district 12 – Montcalm et du Plateau au district14
Candidat du Parti Vert du Québec pour le poste de Député à l’Assemblée
Nationale du Québec…
Représentant Permanent en Europe du Front de Libération de la Côte des
Somalis dite française- (FLCS) ; Représentant Permanent en Amérique du
Nord de l’Union des Mouvements Démocratiques (UMD); Représentant
Permanent aux Amériques du Front pour la Restauration de l’Unité et de la
Démocratie (FRUD) ; Représentant Permanent en Amérique du Nord du
Front Uni de l’Opposition Djiboutienne (FUOD); Président fondateur des
Partisans de la Paix dans la Justice pour tous les Djiboutiens (PPJD).
ÉTUDES ET EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES :
VARIÉES ET COSMOPOLITES :
ÉTUDES : Licencié ès Sciences Sociales et Diplômé d'Études Supérieures en
Relations Internationales Économiques (M.A.); Doctorat (Ph.D.) en Relations
internationales économiques, philosophie et sociologie ; Doctorant pour un
2e Doctorat ès Sciences Politiques (4 certificats obtenus à l'Institut Universi-
taire des Hautes Études Internationales- Université de Genève); Équivalence
de 30 crédits en Droit de l’Université Laval de Québec.
EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES : Assistant - professeur au Départe-
ment des Relations internationales économiques de la Faculté des Sciences
sociales- respon sable de quelques étudiants du 2e cycle dans l’élaboration
de leur thèse de Maîtrise (M.A.); Employé au Bureau Mondial de la Fédéra-
tion Mondiale du Scoutisme; Conseiller puis Chef de service de la Documen-
tation, des Archives, de la Presse et de l’Information au Ministère des
Affaires Étrangères et de la Coopération Internatio-nale; Diplomate en
Afrique, au Moyen-Orient et aux États-Unis d'Amérique où j’ai occupé le
poste de Conseiller, 1er Conseiller et Chargé d’Affaires a.i. . ;Vice-Président
aux Relations internationales à la Société des Jeux d'Hiver de Québec 2002;
Participation entre autres aux Jeux olympiques de LILLEHAMMER en
Norvège et aux Jeux olympiques asiatiques d'HIROSHIMA au Japon;
Employé au Directeur Général des Élections du Québec (DGÉQ); interprète
Imultilingue - sur appel- pour le Ministère d’Immigration et des Communau-
tés Culturelles du Québec et du Ministère de l’Immiugration et de la
Citoyenneté du Canada (Connaissance de 9 langues).
DÉLÉGUÉ OU CHEF DES DÉLÉGATIONS À PLUSIEURS CONFÉRENCES :
Sommets des Chefs d’État et de Gouvernement et Conférences ministérielles
Délégué aux Sommets des Chefs d’État de l’Organisation de l’Unité Africaine
-O.U.A. (UA) à Monrovia au Libéria; à l’Assemblée Générale de l’Organisation
des Nations-Unies (O.N.U.) à New-York aux Etats-Unis d’Amérique; Délégué aux Conférences ministérielles du groupe des 77 (Plus de 117 pays membres) à
Arusha en Tanzanie; des pays de la Communauté Économique Européenne/
Afrique, Caraïbes et Pacifique (CEE/ACP) (UE) à Bruxelles, de l'Organisation
Arabe pour l'Éducation, la Science et la Culture- (ALESCO) à Khartoum; Plusieurs Confé -rences ministérielles de la Commission Économique de l’Organisation des Nations Unies pour l’Afrique (CÉA-NU-UNECA) - Un des
fondateurs de la Zone d’Echanges Préférentielles (ZEP) entre les pays de
L’Afrique de l’Est et de l’Afrique Australe (COMESA) dont je fus élu Vice-pré-
sident lors de la Conférence organisée par la C.É.A. des Nations Unies à
Mbabane au Swaziland; Plusieurs rencontres du Comité International Olympi-
que (CIO) dans différents pays Norvège (Lillehammer), Hongrie (Budapest),
France, Japon, Sénégal, Tunisie, Zimbabwe…
TRAVAUX ACADÉMIQUES ET PUBLICATIONS
o Étude sur les possibilités d’une collaboration économique entre les
pays du Bassin de la Mer Rouge;
o Perspectives de coopération et de développement économiques entre
les pays du Bassin de la Mer Rouge;
o Les petits États dans les relations internationales;
o Problèmes de l’intégration économique;
o Développement économique et Planification en Asie;
o The Third World and the Development of International Law;
o Organisation du Service de la Documentation, des Archives, de la
Presse et de l’Information et surtout du
o 1er Organigramme du Ministère des Affaires étrangères et de la
Coopération internationale de Djibouti.
MÉMORANDUM DISTRIBUÉ PAR
ALI DAHAN, Ph.D.
EN MARGE DU
XIIe SOMMET DE LA FRANCOPHONIE
VILLE DE QUÉBEC, DU 17 AU 19 OCTOBRE 2008
CENTRE DES CONGRÈS DE QUÉBEC, BOULEVARD RENÉ-LÉVESQUE EST
QUÉBEC, (QC) CANADA G1R 2B5
... envoyé aux DESTINATAIRES suivants
- Père MIGUEL D’ESCOTO BROCKMAN.,Président de la 63ème session de l’Assemblée Général de l’ONU;
- S.E. M. Yang Jiechi, Ministre des Affaires Étrangères de la République Populaire de
Chine, Membre Permanent du Conseil de [l’In]sécurité de l’ONU;
- S.E. M. Sergey V. Lavrov, Ministre des Affaires Étrangères de la Fédération de Russie,
Membre Permanent du Conseil de [l’In]sécurité de l’ONU;
- S.E. Madame la Dre. Nkosazana Dlamini Zuma, Ministre des Affaires Étrangères de la
République de l’Afrique du Sud, Membre non permanent du Conseil de [l’In]sécurité
de l’ONU;
- S.E. M. Nur Hassan Wirajuda, Ministre des Affaires Étrangères de la République de
de l’Indonésie, Membre non permanent du Conseil de [l’In]sécurité de l’ONU;
- S.E. M. Samuel Lewis Navarro, Vice-Président et Ministre des Affaires Étrangères de
la République du Panama, Membre non permanent du Conseil de [l’In]sécurité de
l’ONU;
-S.E. M. Aberrahmane Shalgam, Ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération
internationale de la Libye, Membre non permanent du Conseil de [l’In]sécurité de
l’ONU;
- S.E. M. le Dr. Pham Gia Khiem, Vice-Premier ministre et Ministre des Affaires
Étrangères de la République Socialiste du Vietnam, Membre non permanent du
Conseil de [l’In]sécurité de l’ONU;
AINSI QU’AUX PAYS SUIVANTS MEMBRES DE L’UNION AFRICAINE (UA) :
- Messieurs les Ministres de Affaires Étrangères de l’Angola, du Cap Vert,
du Mozambique, de la Namibie, de la Zambie et du Zimbabwe
* M. Dahan est seul responsable du contenu de ce Mémorandum. (Voir ci-joint une brève biographie de l'auteur).
DUPLICITÉ DU GOUVERNEMENT DE DJIBOUTI DANS SES RELATIONS
INTERNATIONALES,VIOLATIONS DES DROITS HUMAINS ET TERRORISME
À L'INTÉRIEUR DU PAYS, DEPUIS PLUS DE 31 ANS
APPEL À LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE POUR SUSPENDRE TOUTE AIDE
FINANCIÈRE AU RÉGIME DICTATORIAL DE DJIBOUTI QUI SERT À LAMACHINE DE
LA TERREUR POUR BROYER LE PEUPLE DJIBOUTIEN
TABLE DES MATIÈRES
LE SILENCE DEVANT L’INJUSTICE EST UN CRIME
Mémorandum distribué par M. Ali Dahan, Ph.D., en marge du
XIIè SOMMET DE LA FRANCOPHONIE
VILLE DE QUÉBEC, DU 17 AU 19 OCTOBRE 2008
27 juin 19977- 17 OCTOBRE 2008
DJIBOUTI DE L’INDÉPENDANCE À LA RECOLONISATION,
plus de 31ans de tyrannie par le président autoproclamé Ismaïl Omar Guelleh
- BREF APERÇU HISTORIQUE
- AUJOURD’HUI, TOUT COMME HIER, LE PEUPLE DJIBOUTIEN MÈNE LE MÊME COMBAT POUR
LA LIBERTÉ, LA DÉMOCRATIE ET LA JUSTICE
- LA VISITE DU GÉNÉRAL CHARLES DE GAULLE À DJIBOUTI - 26 AOÛT 1966
- DU RÉFÉRENDUM DU 19 MARS 1967 À L’INDÉPENDANCE LE 27 JUIN 1977
- EN JUIN 1977, L’INDÉPENDANCE FUT CONFISQUÉE PAR LES MARIONNETTES DE L’EX-RÉGIME
COLONIALISTE ET COMMENÇA ALORS LE RÈGNE D’UN ÉTAT NÉOCOLONIALISTE DE NON
DROIT…
- UN ESPOIR EST NÉ… AVEC LA CRÉATION DU FRONT POUR LA RESTAURATION DE L’UNITÉ
ET DE LA DÉMOCRATIE (FRUD), LE 12 AOÛT 1991 À BALHO, MAIS …
- L'EXCLUSION DES MINORITÉS ETHNIQUES
L'EMBRIGADEMENT DE LA JEUNESSE AU SEIN DE SA MILICE PARALLÈLE
LA TORTURE, LES VIOLS ET LES ASSASSINATS POLITIQUES FIGURENT ENCORE AU PLUS
HAUT PALMARÈS DU SYTÈME DESPOTIQUE DE GUELLEH
- À DJIBOUTI, LES ÉLECTIONS COMMUNALES, RÉGIONALES ET LÉGISLATIVES NE SONT QU'UNE
MASCARADE
- GUELLEH A RECOURT AU TERRORISME D'ÉTAT CHAQUE FOIS QU'IL EST EN DIFFICULTÉ...
27 juin 19977- 17 OCTOBRE 2008
DJIBOUTI DE L’INDÉPENDANCE À LA RECOLONISATION,
plus de 31ans de tyrannie
par le président autopro-clamé Ismaïl Omar Guelleh
ET
7 ANS D’OCCUPATION DE DJIBOUTI PAR L’INTÉGRISTE GEORGE W.
BUSH, PRÉSIDENT DES ÉTATS- UNIS D’AMÉRIQUE, SES VALETS DE
L’OTAN ET EN PARTICULIER LEUR CHEF DE FILE EN AFRIQUE, DIT
FRANCOPHONE, EN SYRIE ET AU LIBAN, LE VOYOUCRATE PÀL
NICOLAS SARKÖZY DE NAGY-BOCSA AINSI QUE DE LEUR
MARIONNETTE ÉTHIOPIEN, MELÈS ZENWA
BREF APERÇU HISTORIQUE
Le 11 mai 1862 les Français signent « un traité d'alliance et d'amitié » avec les sultans afars. Léonce Lagarde fut nommé gouverneur, le 5 septembre 1887 et Obock fut la 1ère capitale du pays, Djibouti.
Le 27 juin 2008, la République de Djibouti aurait dû célébrer le 31e anniversaire de son indépendance et de sa liberté acquises après de dures sacrifices par notre peuple. Hélas, cette indépendance et cette liberté ont été confisquées dès 1977, par la horde de la dynastie de Guelleh-Batal qui n’a cessé depuis, de mettre le pays à feu et à sang et de vendre notre pays en piéces détachées, comme si c'était sa propriété privée
Pire encore, notre pays est quasiment occupé depuis 2002 par plusieurs bases militai-res étrangères.
AUJOURD’HUI TOUT COMME HIER, LE PEUPLE DJIBOUTIEN MÈNE LE MÊME
COMBAT POUR LA LIBERTÉ, LA DÉMOCRATIE ET LA JUSTICE.
En septembre 1958, lors du référendum à Djibouti le camp des indépendantistes était dirigé par M. Mahmoud Harbi tandis que celui du camp qui réclamait la présence coloniale française, avait comme chef de file Hassan Gouled Aptidon. À l'époque, Ismaël Omar Guelleh était encore dans son pays natal l'Éthiopie. Suite aux menaces et aux tricheries de la part du gouvernement français, notre pays n’a pas réussi, en septembre 1958, à faire partie des nations souveraines. Cette situation força M. Mahmoud Harbi à s’exiler à l’étranger et à mettre en place la base de ce que deviendra en juin 1963, le Front de Libération de la Côte des Somalis ( dite française ) FLCS .
Deux ans, jour pour jour, après ce premier référendum, fin septembre 1960, Mahmoud Harbi fut assassiné, lors d'un voyage entre Genève et le Caire, d’une façon très obscure par le service de renseignements français. Le gouvernement colonialiste français prétendit que celui-ci avait été tué lors d’un accident d’avion. Mais les circons-tances de sa mort n’ont jamais été élucidées jusqu’à ce jour. Cet assassinat a été commis au même moment que celui de son compagnon de lutte, le Camerounais, feu Félix Moumié, leader de l’UPC, empoissonné par les services de renseignements français lors d’une escale à Genève.
LA VISITE DU GÉNÉRAL CHARLES DE GAULLE À DJIBOUTI - 26 AOÛT 1966
Le 26 août 1966, le Général Charles de Gaulle, Président de la République française devait se rendre en visite officielle à Phnom Penh (au Cambodge), il fit escale à Djibouti. À cette occasion, le Parti du Mouvement Populaire -PMP- organisa une grande manifestation pacifique à Djibouti-ville. Les manifestants ont été sauvagement dispersés par l'armée française et il y eut plusieurs morts.
DU RÉFÉRENDUM DU 19 MARS 1967 À L’INDÉPENDANCE LE 27 JUIN 1977
Le 19 mars 1967 avait lieu à Djibouti un 2e référendum. Pendant que le peuple dans son ensemble réclamait l’indépendance avec la participation active du FLCS, le trio Aref-Dini-Gouled mena encore une campagne en faveur du maintien du régime colo-nialiste. Cette fois-ci, le trio était dirigé par Aref. Évidemment, le résultat du référendum fut encore une fois, falsifié… Suite à cette 2e mascarade électorale, le peuple djibou-tien montra de nouveau son mécontentement et descendit dans la rue pour réclamer son indépendance et sa liberté. La répression fut sauvage, l’armée française station-née à Djibouti commit des atrocités horribles contre des civils innocents : des dizaines de milliers de personnes furent encerclées et massacrées dans des barrages faits de fils de fer barbelés, sous un soleil de presque 50e C, sans eau et sans nourriture pendant plusieurs jours, des milliers parmi eux furent tués tandis que d’autres furent expulsés vers des pays voisins et surtout vers la Somalie. Le gouvernement français qui était représenté à Djibouti par un gouverneur général n’a cessé de créer des conseils de ministres, toujours dirigés par des personnes à sa solde: Aref-Dini-Gouled. Le trio était aussi impitoyable envers les indépendantistes djiboutiens que l’étaient leurs maîtres. À ce trio, se joignit un petit enquêteur de la police française, Ismaël Omar Guelleh,(arrivant à Djibouti tout frais, venant de son pays natal, l’Ethiopie). Ce dernier dénonçait les indépendantistes à la police française en se couvrant le visage avec ( un Tchador) une CAGOULE, d'où son surnom en Somalie de CHÉDARLÉ. Plusieurs centaines, parmi les patriotes Djiboutiens ont été torturés et plusieurs dizaines ont été assassinés à cause des dénonciations de Guelleh.
Le 19 mars 1967 marque donc le début d’une oppression massive et l’exclusion de plusieurs communautés ethniques composantes de la Nation djiboutienne (plus particulièrement celles d'origine Somali et Yéménite par le régime colonialiste français et par ses marionnettes, le quatuor : Aref-Gouled-Dini-Guelleh. Mais surtout, cette journée du 19 mars marque un événement important : le réveil du peuple djiboutien (comme ce fut le cas pour le peuple sud-africain, suite au massacre de Sharperville, le 21 mars 1961, journée reconnue ensuite par la Communauté internationale comme étant la JOURNÉE INTERNATIONALE CONTRE LE RACISME. À partir de cette date, notre peuple traça la voie irréversible vers l’indépendance pour rejoindre les autres Nations souveraines …
Après 10 ANNNÉES DE LUTTE IMPLACABLE MENÉE PAR LE FLCS, mais aussi par le MPL et certains éléments de la LPAI, l’indépendance a été gagnée après des larmes, du sang, des morts et beaucoup de souffrances, et ce, jusqu’au dernier jour de l’occupa-tion. Il y eut plusieurs de nos patriotes qui ont été forcés à l’exil, des jeunes qui sont tombés sous les balles du régime colonialiste et de ses marionnettes : Aref , Gouled et Guelleh. Qui ne se souvient pas de l’assassinat à Tadjourah du jeune AHMED dit Doudou, par la garde territoriale, devant la délégation de l’O.U.A.(Union Africaine - U.A.-), puis de l’assassinat du jeune Janaleh par la police secrète de Guelleh à Loyada, à la veille de l’indépendance.
EN JUIN 1977, L’INDÉPENDANCE FUT CONFISQUÉE PAR LES MARIONNETTES DE L’EX-RÉGIME COLONIALISTE ET COMMENÇA ALORS LE RÈGNE D’UN ÉTAT NÉOCOLONIALISTE DE NON DROIT…
Le 19 mars 1967, nos aînés se sont soulevés ensemble contre l’occupation colonialiste française et après 10 ans de lutte sans relâche, ils ont réussi à briser leurs chaînes et à arracher leur indépendance le 27 juin 1977. Malheureusement dès la veille de l'indé-pendance, la liberté et la justice de notre peuple ont été confisquées par une horde de sans foi, ni loi, dirigée par Hassan Gouled Aptidon et son neveu Ismaïl Omar Guelleh, cette situation ressemble à celle qui s'est produite au Togo, en janvier 1963, lorsque son président Sylvanus Olympio fut assassiné par les agents du régime colonialiste français et remplacé par un despote du nom d'Etienne Eyadéma.
Après les exactions horribles commises par les colonialistes français qui ont duré plus de 115 ans, notre Peuple espérait vivre enfin dans la paix ! Malheureusement, après l'indépendance, les anciens agents du colonialisme dont le tortionnaire est Ismaïl Omar Guelleh se sont emparés du pouvoir et depuis plus de 31 ans, notre peuple subit les exactions les plus abjectes et les souffrances les plus inhumaines : enlèvements, séquestrations, tortures et emprisonnements arbitraires des chefs de partis politiques et des syndicalistes. Il a connu aussi, les massacres des civils, les viols collectifs, les exécutions sommaires et extrajudiciaires des vieillards, des femmes et des enfants ainsi que les destructions des puits, des maisons, sans épargner les massacres de cheptels dans plusieurs villes et villages du Nord et du sud-ouest du pays.
Depuis 1977, le régime dictatorial en place dirigé par Guelleh (de facto depuis 1977 et de jure depuis 1999) n’a cessé de persécuter l’ensemble de la population Djiboutienne (plus particulièrement celle de l’ethnie afare).
DEPUIS L'INSTALLATION DE LA BASE MILITAIRE ÉTATSUNIENNE
À DJIBOUTI EN SEPTEMBRE 2002, AU CAMP LEMONIER, PRÈS DE L'AÉROPORT DE
DJIBOUTI-VILLE, LA CORNE DEL'AFRIQUE EST DEVENUE LA PLUS GRANDE
POUDRIÈRE DE LA PLANÈTE
C'EST POURQUOI LES PPJD EXIGENT L'ARRÊT DE LA CONSTRUCTION DE LA BASE MILITAIRE PERMANENTE DANS LA RÉGION D'OBOCK, À CÔTÉ DE DOUMEÏRA À DJIBOUTI, PRÈS DE LA FRONTIÈRE DE L'ÉRYTHRÉE, TOUT COMME ILS CONDAMNENT LA MAINMISE DES ETATS-UNIS D'AMÉRIQUE SUR LA CORNE DE L'AFRIQUE, L'OCÉAN INDIEN ET LE
BASSIN DE LA MER ROUGE.
LES PPJD DÉNONCENT LA FUTURE CONSTRUCTION DU PONT DE LA TERREUR,
ENTRE LE YÉMEN ET DJIBOUTI À PARTIR DE LA RÉGION D’OBOCK, À LA
FRONTIÈRE DE L’ÉRYTHRÉE, QUI EST LE PROLONGEMENT DE LA BASE MILITAIRE
ÉTASUNIENNE QUI SERVIRA À L'OCCUPATION DES PAYS DU MOYEN-ORIENT,
NON SOUMIS ENCORE.
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UN ESPOIR EST NÉ… AVEC LA CRÉATION DU FRONT POUR LA RESTAURATION DE L’UNITÉ ET DE LA DÉMOCRATIE (FRUD), LE 12 AOÛT 1991 À BALHO, MAIS …
En 1991, le soulèvement populaire, dirigé par le FRUD, était aux portes de la Capitale,
Djibouti-Ville et l’opposition était à un cheveu de la victoire finale. Après chacune des défaites de l'armée régulière face au FRUD, celle-ci, avant de se retirer, mettait des produits chimiques dans les puits, citernes d'eau et dans les dépôts alimentaires.
Suite aux nombreuses défaites du gouvernement dictatorial face au FRUD, le gouver- nement demanda à la France d'intervenir pour l'aider.
Le 28 février 1992, la France ordonna à ses forces militaires stationnées à Djibouti ( FFSD) d’intervenir pour freiner le FRUD, sous prétexte de chercher une solution sérieusement négociée. Mais cette "négociation sérieuse " préconisée par la France, n’a jamais vu le jour.
La France obligea le FRUD d’accepter un cessez-le-feu . Entre temps, le gouvernement avait recruté dans l’armée djiboutienne plusieurs milliers de mercenaires issus des régimes dictatoriaux déchus de Mengestu Hailé Mariam de l’Éthiopie et Mohamed Siad Barreh de la Somalie, ainsi que des pilotes et des instructeurs militaires de la Pologne, de l’ex-Yougoslavie et de l'Ukraine... Cette horde de mercenaires ont commis des massacres horribles et des viols dans le nord et dans le sud-ouest du pays. Mais si le gouvernement dictatorial gagna cette bataille, c’était parce que la France avait volé par sa présence militaire, une victoire certaine à notre peuple.
Les tortures, les viols, les emprisonnements et les exécutions extrajudiciaires, ainsi que les massacres et les charniers sont devenus monnaie courante et encore plus atroces après la signature de chacun des pseudo accords de paix: 24 décembre 1994, 7 février 2000 et en particulier, depuis la signature du prolongement de ce dernier, le 12 mai 2001. Les PPJD, par la voix de son Président fondateur, ont été les premiers à déclarer dès le début du mois d'avril 2000 que ces pseudo accords de "paix" n'étaient qu'une mascarade pour tromper une fois de plus notre Nation. Aujourd'hui cet accord et son prolongement sont dénoncés non seulement par le FRUD mais aussi par l'ensemble des vrais partis d'opposition qui se sont finalement rendus compte de la supercherie du dictateur sanguinaire Guelleh...
En 2002, une Constitution incomplète a été préparée en catimini par les hommes de main de Guelleh, mais elle n’a plus aucune valeur juridique et les quelques partis d’opposition qui ont été tolérés suite à celle-ci, sont aujourd’hui dans le collimateur de ce dernier.
À partir de ce moment, le but du dictateur Guelleh était de diviser les rangs du FRUD de l'intérieur, en le fractionnement en plusieurs segments, afin de pouvoir les neutra-liser. C'est pourquoi, il a signé séparément 3 pseudo accords de paix avec chacun des dirigeants des 3 factions du FRUD.
L'EXCLUSION DES MINORITÉS ETHNIQUES
La discrimination tribale ethnique persiste encore et l'exclusion des citoyens djibou-tiens d'origine Yéménite et Somalie (Darod, Gadaboursi, Issak, etc...) sont toujours omniprésentes. Les Djiboutiens luttent contre cette politique du dictateur Guelleh, depuis belle lurette parce qu'il les a marginalisés dans leur propre pays Djibouti et les a remplacés par des étrangers qui ont acquis la citoyenneté djiboutienne d'une façon frauduleuse et illégale.
L'EMBRIGADEMENT DE LA JEUNESSE AU SEIN DE SA MILICE PARALLÈLE
En janvier 2002, Guelleh a crée un mouvement de la jeunesse qu'il dirige personnelle-
ment pour servir de chair à canon dans ses guerres contre les opposants djiboutiens et les pays de la région de la Corne de l'Afrique, mais aussi comme 5e colonnne à l'étranger.
LA TORTURE, LES VIOLS ET LES ASSASSINATS POLITIQUES FIGURENT ENCORE AU
PLUS HAUT PALMARÈS DU SYTÈME DESPOTIQUE DE GUELLEH
Malgré le fait qu'on est loin de l’époque des camps de concentration d’Auschwitz et de Treblinka, le régime dictatorial a imposé à certains prisonniers politiques et à des syndicalistes qui croupissent aujourd’hui à la prison de Gabode et dans le Camp de NAGAD, des conditions inhumaines qui font frémir tout être humain, digne de ce nom.
Plusieurs ONG telle qu'Amnistie Internationale, Africa Human Right Watch et plusieurs autres ont à maintes reprises dénoncé les pratiques inhumaines, à l’encontre des prisonniers politiques et des syndicalistes mais aussi à l'encontre des femmes et des enfants à qui l'on refuse les soins, les visites de leurs familles, etc… mais le gouvernement de Djibouti n’a jamais tenu compte de leurs doléances…
Et que dire de tous les otages kidnappés dont on ne connaît pas le nombre, un peu partout dans le monde par l'État voyou de l'integriste Bush, conduits par des vols secrets à Djibouti, torturés et exterminés sur notre territoire national, en République de Djibouti, et ce, en violation de toutes les conventions internationales !
Aujourd’hui, encore, la presse est muselée, la fraude électorale, le tribalisme, l’ethnocentrisme et l’exclusionisme font partie de la carte de cet état népotiste.
À DJIBOUTI, LES ÉLECTIONS COMMUNALES, RÉGIONALES ET LÉGISLATIVES
NE SONT QU'UNE MASCARADE
«Les élections à Djibouti n'ont jamais été ni libres, ni transparentes et encore moins démocratiques.»
Pendant ce temps, pour faire passer sa mascarade électorale, il organise des pseudo consultations avec les dirigeants des pseudo partis d’opposition qui ont déjà fait partie de son gouvernement dans le passé et qui ont bâti le socle de son régime sanguinaire.
Hélas, il a manqué son coup puisque celles-ci ont été boycottées par l'écrasante majorité de notre peuple et par plusieurs vrais partis d'opposition. Cependant, il a réussi à soutirer l’argent de ses bâilleurs de fonds, argent qu’il met dans ses comptes de banques aux État Unis d'Amérique, en France et ailleurs dans le monde et dont une partie est utilisée dans le Merril Lynch à New York ou pour l'achat de somptueuses propriétés aux États Unis d'Amérique, en France, en Éthiopie et dans les pays du Golfe qui ont ouvert leur bourse plus que jamais pour assouvir tous les caprices de ce dernier, sous l'ordre de leur maître l'intégriste Bush.
Il est certain que notre peuple héroïque qui a su s'unir pour libérer notre pays du joug colonial français saura à présent unir ses forces pour balayer pacifiquement à tout jamais la horde de la dictature de la dynastie de GUELLEH-BATAL en vue d’un changement réel vers la liberté, la justice et la paix afin d'assurer un meilleur avenir à notre jeunesse et reconquérir sa fierté et sa dignité. Nous demandons à notre Peuple héroïque et pacifique de mettre en déroute son plan machiavélique, de mener contre lui une lutte pacifique et d'opter pour une boycottage permanent de ses futures mascarades électorales qui se font avec la complicité des prétendus pays démocra-tiques dont les armées occupent notre pays.
GUELLEH A RECOURT AU TERRORISME D'ÉTAT CHAQUE FOIS QU'IL EST EN DIFFICULTÉ...
Depuis 1977, à chaque fois que le régime de Guelleh-Batal est en difficulté, celui-ci a recourt aux méthodes terroristes. Qui ne se souvient pas des attentats criminels per-
pétrés par les hommes de main d'Ismaïl Omar Guelleh: Palmier en Zinc en 1977, Bar l'Historil en 1987, Café de Paris en 1990, Quartier no 7 Bis en 1993, etc... Mais surtout, les massacres d'Arhiba du 18 décembre 1991 et tous les autres qui ont suivi, les charniers des Trous des Italiens, derrière le Théâtre des Salines et les nombreux qui ont été commis dans la région d'Obock et de Tadjourah, etc....
BRÉVE BIOGRAPHIE
ALI DAHAN Ph.D.
Président des Partisans de la Paix dans la Justice pour tous
les Djiboutiens (PPJD)
Ex- Diplomate en Irak, en Somalie et aux États-Unis d’Amérique
Portable : (418) 262-2504 Téléphone et Télécopieur : (418) 658-9244
Courriel principal : aldahan@oricom.ca
PARTISAN DE LA PAIX DANS LA JUSTICE POUR TOUS
DEPUIS PLUS DE QUATRE DÉCENNIES AU SERVICE
DES DROITS HUMAINS
« Un homme meurt lorsqu’il cesse de se battre pour la vérité et la justice ».
Révérend Martin Luther King
J’ai toujours eu comme idéal de rétablir la justice sociale et la paix et je suis en
faveur de l’édification d’une société où régneraient la liberté et l’égalité pour
tous les citoyens et je crois aux valeurs suivantes: DÉMOCRATIE, TOLÉ-
RANCE ET RESPECT DE L’ENVIRONNEMENT comme condition sine qua
non du développement et du bien-être.
Depuis ma jeunesse, je milite pour la paix dans la justice pour tous. Je suis
par conséquent convaincu de l'importance que pourrait avoir pour l'huma-
nité une application rigoureuse de la Déclaration Universelle des Droits de
l'Homme de l'O.N.U. en date du 10 décembre 1948.
En effet, la dite déclaration était et se veut encore une structure de base
pour plusieurs Chartes des droits et libertés de la personne de par le mon-
de comme par exemple la Charte des droits et libertés de la personne du
Québec en date du 27 juin 1975 et celle du Canada en date du 17 avril 1982.
Et cela constitue une raison de plus pour continuer à militer contre toutes
formes de discriminations, d’injustices sociales et pour l'autodétermination
des peuples et surtout les autochtones.
C'est ainsi que j'ai été appelé à collaborer avec plusieurs intervenants et
organis-mes oeuvrant dans le domaine des Droits Humains tant au niveau
local, régional, qu'international : Secrétariat international d'Amnistie Interna-
tionale (A.I.); Mouvement International des Juristes Catholiques pour les
Droits de l'Homme (M.I.J.C.D.H.); Association Internationale d'Échanges
Scientifiques sur la Violence Humaine (ASEVICO) dont le président de ces
deux derniers organismes n'était nul autre que l'infatigable artisan du com-
bat pour la Paix et les Droits Humains, Louis-Edmond PETTITI, ex-bâtonnier
du barreau de Paris et ex-juge à la Cour Européenne des Droits de l'Homme.
Après ma démission de mon poste de Diplomate de Djibouti aux Etats-
Unis d’Amériques, j'ai de plus œuvré en 1993 avec des responsables du
Département des Affaires humanitaires de l'O.N.U.et de l'UNICEF à New-York,
des Représentants permanents des pays membres du Conseil de Sécurité
aux Nations-Unies et des hauts fonctionnaires des pays du groupe des 7
(actuellement 8 ), etc.
En outre, je n'ai pas cessé de participer à plusieurs rencontres régiona-
les, nationales et internationales sur les Droits Humains: Conférences sur
le CESSEZ-LE -FEU HUMANITAIRE : ÉDIFICATION DE LA PAIX POUR LES
ENFANTS à Ottawa; sur la 50ème anniversaire de la Déclaration Universelle
des Droits de l'Homme de l'O.N.U. À Montréal; IX ème Festival Mondial de la
Jeunesse et des Étudiants à Sofia; Congrès Mondial des Étudiants à Bratis-
lava; Conférences internationales sur la décolonisation de l'Afrique australe
à Helsinki; Conférences sur la Corne de l'Afrique à Washington, D.C. (Uni-
versité George Washington) et à New-York (City University of New-York-
CUNY); Congrès mondial sur la Violence et la Co-existence humaine à Mont-
réal, CongrCongrès mondial pour la Paix à Berlin-Est; Membre de la déléga-
tion pour la Réconciliation et la Paix à Djibouti; Consultation annuelle entre le
Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (M.A.É.C.I.)
et les Organisations non-gouvernementales (ONG) en vue de la prépara-
tion des séances de la Commission des Droits de l'Homme des Nations
Unies ; Forum de Québec sur les relations internationales du Canada
- Droits humains - etc.
IMPLICATIONS SOCIALES
Quant à mes implications sociales, elles sont nombreuses et cosmopolites:
lMembre associé du Centre québécois des Relations internationales et
de l’Institut canadien des Affaires internationales (I.C.A.I.) puis membre
correspondant de l'Institut Québécois des Hautes Études Internationales
(I.Q.H.É.I.); Membre du Comité Psychotrope à la Haute-Ville de Québec;
Membre des Comités de parents des Écoles J.-F. Perreault et Anne-Hébert:
membre du Conseil d'orientation et d'harmonie à l'École Anne-Hébert;
Membre de l'Association des parents du CEGEP François-Xavier Garneau,
puis délégué du Conseil d'administration auprès de la Fédération des Asso-
ciations de Parents (F.A.P.) des CEGEPS du Québec inc.; Élu au Conseil
d’administration de la Fondation du dit CEGEP; Membre du Conseil d'admi-
nistration de la Ligue des Droits et Libertés (Section Québec) ; de l'Associa-
tion des Fonction-naires issus des Communautés culturelles (A.F.I.C.C.) ;
2e puis 1e Vice-Président de la Maison internationale de Québec (MIQ);
Élu par la population du quartier de Montcalm au Conseil d'administration
du 1er Conseil de Quartier de Montcalm; Candidat indépendant pour le poste
de Conseiller municipal au district 12 – Montcalm et du Plateau au district14
Candidat du Parti Vert du Québec pour le poste de Député à l’Assemblée
Nationale du Québec…
Représentant Permanent en Europe du Front de Libération de la Côte des
Somalis dite française- (FLCS) ; Représentant Permanent en Amérique du
Nord de l’Union des Mouvements Démocratiques (UMD); Représentant
Permanent aux Amériques du Front pour la Restauration de l’Unité et de la
Démocratie (FRUD) ; Représentant Permanent en Amérique du Nord du
Front Uni de l’Opposition Djiboutienne (FUOD); Président fondateur des
Partisans de la Paix dans la Justice pour tous les Djiboutiens (PPJD).
ÉTUDES ET EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES :
VARIÉES ET COSMOPOLITES :
ÉTUDES : Licencié ès Sciences Sociales et Diplômé d'Études Supérieures en
Relations Internationales Économiques (M.A.); Doctorat (Ph.D.) en Relations
internationales économiques, philosophie et sociologie ; Doctorant pour un
2e Doctorat ès Sciences Politiques (4 certificats obtenus à l'Institut Universi-
taire des Hautes Études Internationales- Université de Genève); Équivalence
de 30 crédits en Droit de l’Université Laval de Québec.
EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES : Assistant - professeur au Départe-
ment des Relations internationales économiques de la Faculté des Sciences
sociales- respon sable de quelques étudiants du 2e cycle dans l’élaboration
de leur thèse de Maîtrise (M.A.); Employé au Bureau Mondial de la Fédéra-
tion Mondiale du Scoutisme; Conseiller puis Chef de service de la Documen-
tation, des Archives, de la Presse et de l’Information au Ministère des
Affaires Étrangères et de la Coopération Internatio-nale; Diplomate en
Afrique, au Moyen-Orient et aux États-Unis d'Amérique où j’ai occupé le
poste de Conseiller, 1er Conseiller et Chargé d’Affaires a.i. . ;Vice-Président
aux Relations internationales à la Société des Jeux d'Hiver de Québec 2002;
Participation entre autres aux Jeux olympiques de LILLEHAMMER en
Norvège et aux Jeux olympiques asiatiques d'HIROSHIMA au Japon;
Employé au Directeur Général des Élections du Québec (DGÉQ); interprète
Imultilingue - sur appel- pour le Ministère d’Immigration et des Communau-
tés Culturelles du Québec et du Ministère de l’Immiugration et de la
Citoyenneté du Canada (Connaissance de 9 langues).
DÉLÉGUÉ OU CHEF DES DÉLÉGATIONS À PLUSIEURS CONFÉRENCES :
Sommets des Chefs d’État et de Gouvernement et Conférences ministérielles
Délégué aux Sommets des Chefs d’État de l’Organisation de l’Unité Africaine
-O.U.A. (UA) à Monrovia au Libéria; à l’Assemblée Générale de l’Organisation
des Nations-Unies (O.N.U.) à New-York aux Etats-Unis d’Amérique; Délégué aux Conférences ministérielles du groupe des 77 (Plus de 117 pays membres) à
Arusha en Tanzanie; des pays de la Communauté Économique Européenne/
Afrique, Caraïbes et Pacifique (CEE/ACP) (UE) à Bruxelles, de l'Organisation
Arabe pour l'Éducation, la Science et la Culture- (ALESCO) à Khartoum; Plusieurs Confé -rences ministérielles de la Commission Économique de l’Organisation des Nations Unies pour l’Afrique (CÉA-NU-UNECA) - Un des
fondateurs de la Zone d’Echanges Préférentielles (ZEP) entre les pays de
L’Afrique de l’Est et de l’Afrique Australe (COMESA) dont je fus élu Vice-pré-
sident lors de la Conférence organisée par la C.É.A. des Nations Unies à
Mbabane au Swaziland; Plusieurs rencontres du Comité International Olympi-
que (CIO) dans différents pays Norvège (Lillehammer), Hongrie (Budapest),
France, Japon, Sénégal, Tunisie, Zimbabwe…
TRAVAUX ACADÉMIQUES ET PUBLICATIONS
o Étude sur les possibilités d’une collaboration économique entre les
pays du Bassin de la Mer Rouge;
o Perspectives de coopération et de développement économiques entre
les pays du Bassin de la Mer Rouge;
o Les petits États dans les relations internationales;
o Problèmes de l’intégration économique;
o Développement économique et Planification en Asie;
o The Third World and the Development of International Law;
o Organisation du Service de la Documentation, des Archives, de la
Presse et de l’Information et surtout du
o 1er Organigramme du Ministère des Affaires étrangères et de la
Coopération internationale de Djibouti.
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Qui Est Ali Dahan BRÉVE BIOGRAPHIE
#3
Posté 15 décembre 2008 - 03:56


Lazyboy,
Ce Ali Dahan, a un impressionnant background !!
couz, continu ainsi a faire la promotion de tout ces grands politiciens-fantome qui jurent sur Djibouti. On en marre qu'on mette tjrs sur le tas les mm tete sur concernant la politique djiboutienne.
parmi ces fantomes, perso je suis fan d'un certain Mohamed Daoud Chehem president du PDD. Li sa et tu pourras voir son talon http://www.lesnouvel...148_01_PDD.html
Slogon Singapour:--- " Nous ne sommes pas les plus riches, nous ne sommes pas les plus puissants, et nous ne sommes pas les plus nombreux. Nous devons donc pour nous faire une place au soleil être parmi les plus capables et les plus instruits "
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