Toto, le Thursday 13 December 2007, 11:36, dit :
Vois-tu, nous en serons un peu plus à ce sujet le jour où le monde arabe, africain et moyen oriental aura le choix de ses candidats et d'autre part la souveraineté sur l'issue du scrutin. Toto veut dire par là que la démocratie est bafouée lorsque par exemple les palestiniens choisissent souverainement leurs mandants et qu'à l'issue du scrutin la communauté (blanche) internationale leur explique : "Ah ! Non...Non ! Non ! Non ! On est désolé mais c'est pas ceux-là qu'il fallait choisir...Ce serait mieux si vous aviez choisi un Ben Ali local, un Ben Ali chéri...Vous voyez : Pas un type qui réponde à vos aspirations mais plutôt un bourreau qui fait de son pays une prison à ciel ouvert mais au moins avec lequel nous n'aurions pas à nous emmerder avec le terrorisme international et vos barbus radicaux...Un type qui accepte que son pays serve de frontière à l'immigration du sud à destination du nord et qui surtout, mais ca,c'est un plus, mais ca, c'est le must, qui autorise l'externalisation de la torture que ne peuvent plus pratiquer les pays occidentaux chez eux au titre de maudites conventions internationnales qu'ils furent malencontreusement obligés de signer sous l'oeil torve de leur presse libre !" La démocratie est bien sûr compatible avec l'Islam. Il faut juste que les pays islamiques renouent avec l'indépendance...Pour l'instant, l'Occident fait joujou avec le monde arabo-musulman ! Joujou ! Ni plus ! Ni moins...
Toto, merci. Ta thèse tes arguments et tes exemples sont convaincants. Mais ce que je cherche c'est des solutions. Qu'est ce que tu proposes pour y remedier à ce problème que tu as souligné ?
Quelles sont les solutions qui nous permettront de vivre la vie idéale. La vie des vrais musulman. La vie qui nous permettrais obtenir la grace de Allah (jwc).
Et celà m'ammene de remettre en cause le systhème de vote. La democratie elle même. Je recherche les conditions, les normes, l'organisation idéale qui nous permettrais de vivre comme des vrais musulmans. Je remet en cause toutes les conditions de l'organisation politique, économique, judiciaire, et sociale qui constituent une obstacle à cet objetif